EDF : fonds américains pas contents

ldv88

07 nov. 2022 •10:18

Ce matin  fonds américains pas contents de l'offre à 12 euros  !


Les fonds américains pressent la France de prolonger la valeur de rachat de 10 milliards d’euros d’EDF
Mirza ShehnazPARMIRZA SHEHNAZ7 novembre 2022 MIS À JOUR:7 NOVEMBRE 2022 AUCUN COMMENTAIRE4 MINUTES DE LECTURE
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Plusieurs fonds américains poussent l’État Français à augmenter son rachat de 10 milliards d’euros aux actionnaires minoritaires de la société de services publics de vitalité EDF et demandent au régulateur du marché français de préconiser une hausse de la valeur, y compris pour tendre les traders tristes avec les phrases de la nationalisation.

Les autorités Français sont en train de transférer pour racheter les 16% qu’elle ne fait pas déjà dans EDF, car le groupe est aux prises avec des arrêts de fabrication dans ses réacteurs nucléaires Français et des coûts énergétiques de gros planants en Europe, et engrenages autant que construire de nouvelles cultures coûteuses.

Le cours inverse d’une privatisation de 2005 et d’une chute ultérieure de la valeur d’inventaire de l’entreprise énergétique parce qu’elle était cotée à 32 € par action, ce qui a entraîné une opposition à la valeur de rachat de 12 € par action de certains négociants à long terme, apparentés aux actionnaires salariés.

Les fonds américains détenant plusieurs centaines de millions d’euros de prix des actions EDF, qui incarnent le fonds spéculatif TIG Advisors, ont maintenant connu comme l’Autorité des marchés financiers (AMF) de la France pour émettre la valeur de fournir et conseiller qu’il soit porté à 15,80 euros par action, sur la base d’une lettre du 3 novembre envoyée par l’avocate Sophie Vermeille et consultée par le Financial Times.


Les fonds ont fait valoir que les divulgations sur l’influence des sélections présidentielles récentes sur les fonds d’EDF avaient été inadéquates et n’avaient jamais été prises en compte par un cabinet de conseil impartial employé par le service public pour évaluer la fourniture. Ils ont également connu certains ajustements aux phrases de l’appel d’offres et à la manière dont les offres sont collectées.

« En ne laissant pas aux actionnaires minoritaires la possibilité de bénéficier d’un prix équitable ou des informations nécessaires pour se faire une opinion éclairée sur les conditions financières, [l’AMF] enverrait un signal extrêmement négatif sur Paris en tant que place financière », a écrit Vermeille.

L’AMF est due à des objections d’approbation automatique ou d’augmentation à l’offre, dans un choix qui pourrait très bien être rendu public mardi sur la base des dépôts de l’appel d’offres. L’AMF, EDF et le ministère français du Système financier ont refusé de faire des remarques.

Une fois le projet lancé, le gouvernement fédéral veut atteindre un seuil d’acceptation de 90 p. 100 par rapport à sa participation de 84 p. 100 avant d’être prêt à évincer le reste des actionnaires minoritaires. Les actions EDF se situent légèrement en dessous du stade de la valeur à 12 euros, après avoir chuté près de leurs plus bas historiques à 5,8 euros en mars.


Le rachat de 9,7 milliards d’euros par l’État comprend une offre sur les obligations convertibles d’EDF. L’offre représentait une prime de 53% par rapport à la valeur de clôture de l’entreprise avant l’introduction de la nationalisation en juillet.

EDF, qui a réduit la semaine dernière ses prévisions de fabrication pour la quatrième fois cette année en raison d’arrêts de réacteurs et de programmes d’entretien, a également été touchée en janvier lorsque les autorités Français lui ont fait prendre en charge les frais associés pour son offre de plafonner les augmentations des paiements énergétiques des clients à 4% en 2022.

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Vermeille a informé le FT que les fonds ne cherchaient pas à faire dérailler la nationalisation, mais en insistant pour une transparence accrue au cours de la période.

Certains actionnaires demandent en outre que la valeur soit portée à pas moins de 15 euros par action, à l’instar du personnel qui a investi dans les actions, et d’un investisseur personnel de 1,5% du capital d’EDF.

« Les actionnaires minoritaires sont contraints de vendre au pire moment de l’histoire d’EDF », a déclaré Martine Faure, consultante du syndicat de gauche CGT et présidente de deux fonds d’actionnaires salariés.

Français’actionnaire activiste CIAM, qui détient moins de 1% d’EDF, a également critiqué la méthode.

« Il est clair que le prix n’est pas adéquat quand on voit comment l’État est intervenu et a fait chuter le cours de l’action », a déclaré Catherine Berjal, cofondatrice du CIAM. C’est l’AMF qui devrait être celle qui nomme un compétent impartial pour évaluer l’offre, et non EDF, a ajouté Berjal.

L’AMF a le choix, ainsi que la sélection de prendre plus de temps pour évaluer l’offre. Les autorités ont cherché à transférer aussi rapidement que possible alors que les divers problèmes de fabrication d’EDF déchirent ses revenus de base.