DBT : En fait dans cette histoire tout le monde est coupable mais en même temps

bombeur2

26 février 2024 •13:04

DBT n.ayant pas les moyens de son développement s’est tourné vers des financements légaux mais douteux sur le principe, le financement par OCA….en avait t il le choix? Qui lui aurait prête de l’argent avec le risque que constituait ce type d’entreprise? Par ailleurs quelle société financière prête de l’argent sans en retirer un bénéfice ? En règle générale les banques peuvent le faire avec des prêts obligataires mais si le dossier est jugé trop risqué,elles ne le font pas…

bombeur2

26 février 2024 •13:10

Ne restaient par conséquent que la voie des 0cA et afin de limiter le risque l’organisme prêteur une fois l’argent donné, va convertir la dette en actions et les revendre immédiatement, ce qui revient à faire une augmentation de capital au détriment de l’investisseur…ce qui va peser sur le cours et c’est ainsi que nous sommes arrivés à une cotation de 0,0003€ avant regroupement..

bombeur2

26 février 2024 •13:15

C’est ainsi que cet investisseur s’est retrouvé avec un investissement passant de 10000 actions à 1€ a1 action à 3€ subissant une perte potentielle de 9999€….Il faut se mettre a sa place lorqu’il voue aux gemonies DBT….alors qu’il ne peux même pas souscrire à la nouvelle AK n’ayant pas 6 droits…

jrc12

26 février 2024 •14:03

Merci bombeur pour cette synthèse qui dit le factuel de beaucoup de PP, dont je suis...ce qui s'est passé en matière d'OCA ici se déroule sur nombre de titres et constitue une spoliation des actionnaires existants...la réglementation est bien trop permissive en matière de financement qui échappe au final à tout contrôle de "viabilité" de l'entreprise qui y recourt...une fuite en avant de dirigeants qui constitue un tonneau des danaïdes pour le petit actionnaire

bombeur2

26 février 2024 •15:28

Donc qui est le plus coupable entre l'investisseur qui n'a pas coupé à temps, DBT qui a recherché quoi qu'il en coute un financement afin d'assurer le développement de la société, pour preuve du manque de confiance qu'il n'a jamais trouvé, cet emprunt obligataire qu'il n'a pas réussi à faire passer et qui était à 7.5% ou Ess et consort qui ont prêté mais ne voulant pas rester au capital

uranus

26 février 2024 •15:53

Ce type de financement maintient en survie artificielle des sociétés qui normalement auraient disparu. Il vaut probablement mieux perdre 100% que 99,99 % tout en continuant à remplir le tonneau des danaïdes.

c.porch2

26 février 2024 •16:12

Bravo bonne synthèse sans animosité moi je suis tellement en colère surtout depuis l’interview du PDG que je n’arrive plus à échanger avec vous sans agressivité. Merci.

c.porch2

26 février 2024 •16:43

De plus pas un mot du PDG pour nous actionnaires depuis l’introduction en bourse et la chute abassiale du titre la moindre des choses au moins nous remercier sans nous l’entreprise n’existerait plus depuis longtemps.

c.porch2

26 février 2024 •16:47

Et le journaliste ne pose aucune question sur le parcours chaotique de l’action DBT.

_RobinHood_

26 février 2024 •23:10

c.porch2 avez-vous déjà vu un "journaliste" économiste, qui plus est payé par un organisme financier, poser les bonnes questions ?
D'ailleurs même les journalistes généralistes posent rarement les bonnes questions, il faudrait pour cela qu'ils soient omniscients ...