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AB SCIENCE : SLA news extrait VdN du jour

20 juin 2024 11:59

Des chercheurs lillois dont le Professeur David Devos, s offre une 1ere mondiale découvrant une prometteuse voie de traitement par injection de plaquettes sanguines dans le cerveau

5 réponses

  • 20 juin 2024 12:06

    Ps : non abonné, je ne dispose pas de l article complet


  • 20 juin 2024 13:21

    A lire sur forum abc


  • 20 juin 2024 14:02

    En quoi cette nouvelle thérapie, que vous avez brevetée avec le Pr Burnouf, est-elle innovante ?
    Actuellement, on fait beaucoup de thérapie ciblée, c’est-à-dire qu’on prend un récepteur et une molécule pour tenter de traiter les malades. En tant que médecin-chercheur, j’ai pris un raisonnement différent car je ne pense pas qu’en agissant sur le récepteur Y ou la voie X je vais réussir à inverser une maladie où tout est détruit en deux ans. J’ai eu l’idée de travailler sur cette biothérapie acellulaire il y a maintenant 14 ans, par le biais d’une rencontre avec le Pr Thierry Burnouf qui travaillait sur les plaquettes. En discutant ensemble, nous nous sommes rendu compte de leur pouvoir : les plaquettes ne servent pas uniquement à la coagulation sanguine, elles ont aussi une fonction de protection et de réparation des tissus grâce au sécrétome. Et nous avons eu l’idée de travailler ce système de réparation et de créer un lysat plaquettaire injectable dans le cerveau des patients SLA. Nous avons commencé à faire de la culture cellulaire en 2012 et nous nous sommes rendu compte que cela fonctionnait très bien sur deux modèles de souris SLA classiques. Depuis, nous avons bien sûr continué les essais, nous avons breveté notre innovation et lancé en 2022 la start up InVenis Biotherapies, spin off du campus lillois, pour faire un premier essai clinique sur les personnes.
    Comment fabriquez-vous ce biomédicament, le lysat plaquettaire HPPL (“Human Platelet Pellet Lysate”) ?
    L’idée est de récupérer des plaquettes de donneurs sains qui arrivent à la date limite de péremption, soit au 9ème jour, quand la transfusion à l’hôpital n’est plus possible. Ces plaquettes subissent ensuite plusieurs traitements de congélation et de décongélation afin de casser les membranes. Nous faisons aussi des centrifugations et nous chauffons le produit jusqu’à obtenir un liquide très clair contenant des facteurs de croissance des plaquettes sanguines et qui est compatible avec une administration humaine dans le système nerveux central.
    Lors de nos essais sur les animaux, on a constaté à chaque fois qu’on administrait la bonne dose de produit une très forte neuroprotection.
    Comment se ferait la prise du traitement pour les personnes atteintes de SLA ?
    C’est un traitement au long cours. L’idée est d’injecter le traitement directement dans le cerveau du malade grâce à un cathéter très fin placé derrière la tête et qui ne pénètre que de 3 cm dans le cerveau. Le système est relié à une petite pompe placée sous la peau du ventre afin d’administrer une dose spécifique. Cela nécessite une intervention, mais les risques d'hémorragie ou d’infection sont très faibles, on l’a vu sur les patients ayant une maladie de Parkinson qui sont traités de cette façon pour l’administration de dopamine.
    Quels sont les premiers résultats ?
    Lors de nos essais sur les animaux, on a constaté à chaque fois qu’on administrait la bonne dose de produit une très forte neuroprotection. On a vu, dans le modèle le plus sévère de la maladie, une augmentation de 130 % de la survie, ce qui est exceptionnel.


  • 20 juin 2024 16:57

    J'ai rien compris en quoi ÀBsciences est concerné ??


  • 20 juin 2024 17:25

    Ne serait ce pas également un forum sla ? Est il interdit de se soucier de ceux qui souffrent ?


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