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ARCELORMITTAL : cet être souffre

17 avr. 2011 22:55

la solitude rend fou

13 réponses

  • 18 avril 2011 08:39

    La vie est une attente perpétuelle de ce qui peut être, un renoncement perpétuel à ce qui n'est pas, une angoisse perpétuelle de ce qui doit être...


  • 18 avril 2011 21:17

    http://www.youtube.com/watch?v=GV-6TClppzc


  • 18 avril 2011 21:21

    de loin très loin UNIQUE
    http://www.youtube.com/watch?v=p0tC6ahVu4w

    Pour avoir si souvent dormi
    Avec ma solitude
    Je m’en suis fait presqu’une amie
    Une douce habitude
    Ell’ ne me quitte pas d’un pas
    Fidèle comme une ombre
    Elle m’a suivi ça et là
    Aux quatre coins du monde

    Non, je ne suis jamais seul
    Avec ma solitude

    Quand elle est au creux de mon lit
    Elle prend toute la place
    Et nous passons de longues nuits
    Tous les deux face à face
    Je ne sais vraiment pas jusqu’où
    Ira cette complice
    Faudra-t-il que j’y prenne goût
    Ou que je réagisse?

    Non, je ne suis jamais seul
    Avec ma solitude

    Par elle, j’ai autant appris
    Que j’ai versé de larmes
    Si parfois je la répudie
    Jamais elle ne désarme
    Et si je préfère l’amour
    D’une autre courtisane
    Elle sera à mon dernier jour
    Ma dernière compagne

    Non, je ne suis jamais seul
    Avec ma solitude
    Non, je ne suis jamais seul
    Avec ma solitude

    ayé je pleure


  • 18 avril 2011 21:26

    http://www.youtube.com/watch?v=GlVrWsEUFGY

    Je l’ai trouvée devant ma porte,
    Un soir, que je rentrais chez moi.
    Partout, elle me fait escorte.
    Elle est revenue, elle est là,
    La renifleuse des amours mortes.
    Elle m’a suivie, pas à pas.
    La ga rce, que le Dia ble l’emporte!
    Elle est revenue, elle est là

    Avec sa gue ule de carême
    Avec ses larges yeux cernés,
    Elle nous fait le cœur à la traîne,
    Elle nous fait le cœur à pleurer,
    Elle nous fait des mains blêmes
    Et de longues nuits désolées.
    La gar ce! Elle nous ferait même
    L’hiver au plein cœur de l’été.

    Dans ta triste robe de moire
    Avec tes cheveux mal peignés,
    T’as la mine du désespoir,
    Tu n’es pas belle à regarder.
    Allez, va t-en porter ailleurs
    Ta triste gue ule de l’ennui.
    Je n’ai pas le goût du malheur.
    Va t-en voir ailleurs si j’y suis!

    Je veux encore rouler des hanches,
    Je veux me saouler de printemps,
    Je veux m’en payer, des nuits blanches,
    A cœur qui bat, à cœur battant.
    Avant que sonne l’heure blême
    Et jusqu’à mon souffle dernier,
    Je veux encore dire "je t’aime"
    Et vouloir mourir d’aimer.

    Elle a dit : "Ouvre-moi ta porte.
    Je t’avais suivie pas à pas.
    Je sais que tes amours sont mortes.
    Je suis revenue, me voilà.
    Ils t’ont récité leurs poèmes,
    Tes beaux messieurs, tes beaux enfants,
    Tes faux Rimbaud, tes faux Verlaine.
    Eh! bien, c’est fini, maintenant."

    Depuis, elle me fait des nuits blanches.
    Elle s’est pendue à mon cou,
    Elle s’est enroulée à mes genoux.
    Partout, elle me fait escorte
    Et elle me suit, pas à pas.
    Elle m’attend devant ma porte.
    Elle est revenue, elle est là,
    La solitude, la solitude...


  • 18 avril 2011 21:28


  • 19 avril 2011 00:33

    il cause tout seul


  • 19 avril 2011 18:20

    l'irréparable


  • 19 avril 2011 20:54

    ms qui est ce FKL 1978, hein ?


  • 19 avril 2011 22:30

    le fils caché que Jackie Kennedy et Christophe Lambert ont eu en 1978
    mais chut c'est secret


  • 20 avril 2011 13:05

    j'apprécie le renseignement. Que ferais-je sans toi ?


  • 20 avril 2011 13:57

    très très beau !


  • 20 avril 2011 14:25

    Que ferais-je sans toi
    Hommage à Jean Ferrat et à Aragon très humble je suis


    Que ferais-je sans toi dans le noir qui me sombre
    Que ferais-je sans toi sinon compter le vent
    De ce leurre initié en jardin de pénombre
    Que ferais-je sans toi ma belle au bois dormant

    J’ai tout suivi de toi sur l’étang de l’hymen
    Pour savoir la façon de te dire mes saisons
    Et encore une fois le parfum de la plaine
    Se respire sous un ciel à l’endroit que je s’aime
    Et si le Maupassant que je lis à foison…
    J’ai tout suivi de toi un soir dans ma prison

    Que ferais-je sans toi dans le noir qui me sombre
    Que ferais-je sans toi sinon compter le vent
    De ce leurre initié en jardin de pénombre
    Que ferais-je sans toi ma belle au bois dormant

    J’ai tout suivi de toi quand tes cernes en Bernes…
    Savoir se taire en soi pour se faire moins bleu
    La boisson de l’âge quand il y a des cavernes
    Le lieu en moi était la somme d’une scène
    Et quand je pris ta main, la source de nous deux
    Le lieu en moi était un peu plus merveilleux

    Que ferais-je sans toi dans le noir qui me sombre
    Que ferais-je sans toi sinon compter le vent
    De ce leurre initié en jardin de pénombre
    Que ferais-je sans toi ma belle au bois dormant

    Sachant que j’avais peur ton regard qui s’immisce
    Sur mon écrit en pleur, car j’y suis parvenu
    À vouloir que mon mal se note à l’hémistiche
    Te dire que sans toi je serais dans la triche
    Sûrement dans l’ailleurs, au détour d’une rue
    Terre terre voici… n’étant plus l’inconnu

    Que ferais-je sans toi dans le noir qui me sombre
    Que ferais-je sans toi sinon compter le vent
    De ce leurre initié en jardin de pénombre
    Que ferais-je sans toi ma belle au bois dormant


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