((Traduction automatisée par Reuters à l'aide de l'apprentissage automatique et de l'IA générative, veuillez vous référer à l'avertissement suivant: https://bit.ly/rtrsauto))
30 juin - OpenAI a déclaré qu'elle n'avait pas l'intention d'utiliser la puce interne de Google GOOGL.O pour alimenter ses produits, deux jours après que Reuters et d'autres organes de presse ont rapporté que le laboratoire d'intelligence artificielle se tournait vers les puces d'intelligence artificielle de son concurrent pour répondre à la demande croissante. Une porte-parole d'OpenAI a déclaré dimanche que, bien que le laboratoire d'IA effectue des tests préliminaires avec certaines unités de traitement tensoriel de Google (TPUs), il n'a pas l'intention de les déployer à grande échelle pour l'instant. Google s'est refusé à tout commentaire. S'il est courant que les laboratoires d'IA testent différentes puces, l'utilisation d'un nouveau matériel à grande échelle pourrait prendre beaucoup plus de temps et nécessiterait une architecture et un support logiciel différents. OpenAI utilise activement les unités de traitement graphique de Nvidia (GPUs), et les puces d'IA d'AMD AMD.O pour répondre à sa demande croissante. OpenAI développe également sa puce, un effort qui est en bonne voie pour atteindre cette année l'étape du "tape-out", où la conception de la puce est finalisée et envoyée à la fabrication. OpenAI s'est inscrit au service Google Cloud pour répondre à ses besoins croissants en capacité de calcul, avait rapporté Reuters en exclusivité au début du mois, marquant ainsi une collaboration surprenante entre deux concurrents de premier plan dans le secteur de l'IA. La majeure partie de la puissance de calcul utilisée par OpenAI proviendrait de serveurs GPU alimentés par la société CoreWeave CRWV.O , connue sous le nom de "neocloud". Google a élargi la disponibilité externe de ses puces d'IA internes, ou TPU, qui étaient historiquement réservées à un usage interne. Cela a permis à Google de gagner des clients, notamment Apple AAPL.O , acteur majeur de la technologie, ainsi que des startups comme Anthropic et Safe Superintelligence, deux concurrents fabricants de ChatGPT lancés par d'anciens dirigeants d'OpenAI.
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