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General Mills : ses bénéfices chutent de 18% au premier trimestre
information fournie par AOF 20/09/2023 à 14:43

(AOF) - Au premier trimestre 2023/2024, le bénéfice net de General Mills est en baisse de 18% à 674 millions de dollars. Son bénéfice par action dilué a chuté de 16 %, à 1,14 dollar. Son bénéfice d'exploitation a diminué de 14% à 930 millions de dollars en raison des plus-values de cessions de l'année précédente et de l'augmentation des frais de vente, des frais généraux et des frais administratifs, partiellement compensés par l'augmentation de la marge brute en dollars.

Cependant, ses ventes nettes ont augmenté de 4 % pour atteindre 4,9 milliards de dollars sur ce trimestre.

La société agroalimentaire a réaffirmé ses objectifs financiers pour l'ensemble de l'exercice 2023/2024. Ses ventes nettes organiques devraient augmenter de 3 à 4 %.

Le bénéfice d'exploitation ajusté et le BPA dilué ajusté devraient chacun augmenter de 4 à 6% à taux de change constant.

AOF - EN SAVOIR PLUS

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Des prix de l'énergie qui flambent et un appel à l'aide

Dans le passé, l'énergie représentait un coût fixe de 3% du chiffre d'affaires. Cette année, ce pourcentage grimpe à 5% voire à 7% pour les TPE-PME, selon l'Ania (Association nationale des industries alimentaires. Les professionnels sont très inquiets car jusqu'à fin 2022 ils bénéficient généralement de couvertures pour amortir ces augmentations. Or elles ne sont pas reconduites pour 2023 et après. Par conséquent, 25 des principales organisations interprofessionnelles (Intercéréales, Inaporc, Semae, etc.) appellent l'Etat au secours face à l'érosion de leurs marges et de leur capacité d'investissement.

L'Etat a proposé plusieurs dispositifs, dont un " amortisseur électricité ", qui sont jugés insuffisants. Les organisations déplorent également l'échec des négociations européennes pour aboutir à un bouclier tarifaire permettant d'éviter les distorsions de concurrence. L'agriculture et l'agroalimentaire demandent un prix plafond maximum à 180 €/MWh alors que de nombreuses entreprises achètent à des prix supérieurs à 500€/MWh sur le marché français.

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