
Le titre de l'énergéticien cède 12% sur un an. (© Engie)
Le groupe dirigé par Jean-Pierre Clamadieu a augmenté en 2020 ses capacités de production d’électricité renouvelable. Mais le groupe doit encore progresser dans cette voie pour séduire davantage d’investisseurs.
L’énergéticien va-t-il enfin trouver grâce aux yeux des investisseurs ?
Quelques signaux semblent aller dans ce sens. A commencer par une note de recherche de Barclays en date du 12 janvier dans laquelle Engie figure désormais parmi les valeurs préférées dans le secteur des utilities européennes aux cotés de National Grid et d’Endesa.
Des actifs renouvelables sous évaluésLes analystes de la banque britannique pensent que les actifs renouvelables du groupe français sont relativement sous évalués par le marché à l’instar de ceux de l’allemand RWE et de l’espagnol Endesa .
Cherchant à mettre en lumière leurs investissements dans les énergies renouvelables pour séduire davantage d’observateurs, les dirigeants d’Engie ont récemment fait le point sur les capacités mises en service en 2020 et sur les perspectives à court terme.
Ainsi, à fin 2020, le groupe exploite 31 GW d’actifs renouvelables, soit une augmentation de 5 GW par rapport à fin 2019. Engie a mis en service l’an dernier 3 GW, composés de 70% d’éolien terrestre, de 21% de solaire photovoltaïque et pour la première fois, environ 9% d’éolien en mer.
Par ailleurs, Engie a fait l’acquisition de 2GW d’actifs en opération situés au Portugal (1,7 GW hydroélectrique), en Italie et en France (éolien terrestre).
Un verdissement plus
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