((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))
(Corrige le paragraphe 5 pour indiquer que Berkshire a gagné plus de 10 milliards de dollars depuis, et non jusqu'à, la mi-juillet)
Berkshire Hathaway BRKa.N , le groupe du milliardaire Warren Buffett, s'est délesté cette semaine de nouvelles actions de Bank of America BAC.N , ce qui ramène sa participation dans le géant bancaire américain à moins de 10%.
Berkshire a vendu 9,5 millions d'actions d'une valeur de 382,4 millions de dollars cette semaine, selon une déclaration réglementaire déposée jeudi.
La Securities and Exchange Commission des États-Unis exige que les actionnaires qui détiennent plus de 10 % d'une société déclarent leurs achats et ventes d'actions dans un délai de deux jours ouvrables.
Désormais, les investisseurs de Bank of America devront probablement attendre les rapports financiers trimestriels de Berkshire ou les déclarations trimestrielles de détention d'actions pour savoir si la société basée à Omaha, dans le Nebraska, a vendu davantage.
Elle a commencé à réduire sa participation à la mi-juillet en vendant environ 33,9 millions d'actions pour un montant d'environ 1,48 milliard de dollars. Depuis lors, le géant de l'investissement a gagné plus de 10 milliards de dollars.
BofA n'est toutefois pas la seule action dont Buffett s'est débarrassé récemment. Au début de l'année, Berkshire a réduit de moitié sa participation dans le géant technologique Apple
AAPL.O .
Lors de la réunion annuelle de Berkshire Hathaway en mai, M. Buffett a déclaré qu'il était logique de vendre car le taux d'imposition fédéral sur les plus-values pourrait augmenter en fonction du vainqueur de l'élection présidentielle américaine.
Buffett, l'un des investisseurs les plus vénérés au monde, a investi pour la première fois dans Bank of America en 2011, lorsqu'il a acheté pour 5 milliards de dollars d'actions privilégiées.
La banque publiera ses résultats la semaine prochaine, tout comme son homologue Citigroup C.N , et les investisseurs surveilleront de près l'impact potentiel de la hausse des coûts des dépôts et de la tiédeur de la demande de prêts.
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