
Le TSR additionne le dividende et les les autres versements de l’entreprise sur une période donnée. (© DR)
Le TSR mesure le gain total de l’actionnaire sur une période donnée. Il additionne le dividende et les autres versements de l’entreprise (bonus de fidélité, actions gratuites…) ainsi que la progression du titre.
De plus en plus de sociétés affichent leur TSR (Total shareholder return) à l’occasion des assemblées générales ou des présentations aux investisseurs.
Parmi les acronymes anglo-saxons en vogue, le TSR mesure le gain total de l’actionnaire sur une période donnée. Il additionne le dividende de l’actionnaire et les autres versements de l’entreprise (bonus de fidélité, actions gratuites…) ainsi que la progression du titre sur la période considérée. « Il ne faut pas se focaliser sur le rendement, c’est-à-dire le ratio dividende sur cours du titre alors qu’il y a beaucoup d’autres facteurs à prendre en compte qui contribuent à la performance du portefeuille », argumente Patrick Renard, directeur à la direction des actionnaires’ Air Liquide .
On inclut même dans le TSR les titres reçus à l’occasion de l’introduction d’une filiale en Bourse, comme Sanofi l’a fait lors de sa scission avec sa filiale Euroapi. Ensuite il vous incombera d’en retrancher les frais : frais de courtage et frais de garde, impôts et prélèvements sociaux pour calculer un gain net. La société ne peut le faire à votre place, car elle n’en a pas connaissance.
Certains courtiers ont des frais très réduits. Si vous confiez la gestion de vos titres au nominatif pur à Air Liquide, vous profiterez aussi d’un tarif très bas : 0,1% HT sans frais minimum sur vos
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