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Immobilier locatif : ces villes où les locataires se bousculent
information fournie par Boursorama avec Newsgene 04/07/2018 à 16:40

(Pixabay)

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Bien investir dans l'immobilier demande quelques connaissances du marché locatif. Pour que l'opération soit rentable, mieux vaut trouver rapidement un locataire. L'emplacement et la taille du logement restent des critères essentiels.

La rentabilité d’un investissement locatif dépend de la demande de logement. Sans locataire, pas de loyer ! La Fédération nationale de l’immobilier (FNAIM) vient de publier une étude pour aider les futurs propriétaires à bien analyser ce marché. De quoi évaluer vos chances de voir les locataires se bousculer au portillon, rapporte Les Echos.

Centre-ville et périphérie

Pour louer en moins d’un mois et demi, mieux vaut investir dans le centre-ville de Lille (Nord), Strasbourg (Bas-Rhin), Rouen (Seine-Maritime), Nantes (Loire-Atlantique) ou encore Rennes (Ille-et-Vilaine). Comptez entre deux et cinq mois dans des villes comme Paris, Lyon (Rhône) et Bordeaux (Gironde). Notez que les délais varient en fonction de l’emplacement.

Par exemple, le délai médian pour louer dans Paris intra muros atteint 46 jours. Il passe à 66 jours pour un bien situé en Petite Couronne, et jusqu’à 91 jours en Grande Couronne. Même logique à Lyon, où le délai atteint 49 jours dans le centre et 62 jours en périphérie. Dans le cas de Bordeaux, comptez 54 jours dans le centre et 62 jours en banlieue.

Rentabilité des petits logements

Dans la capitale, la forte demande pour le centre-ville a fait grimper le prix du mètre carré à 29,3 euros au premier trimestre 2018. Il chute à 19,5 euros en Petite Couronne, pour atteindre 15,5 en Grande Couronne. N’oubliez pas cependant que la rentabilité dépend aussi de la taille du bien en location. Les loyers restent plus élevés pour un studio que pour un deux-pièces.

La prime aux petites surfaces s’explique par la mobilité des locataires. Les locataires stables bénéficient d’une « prime à la durée d’occupation », quand les loyers des nouveaux locataires dépendent de l’état du marché. Le risque de vacance se répercute aussi sur le montant du loyer. « C’est notamment le cas des logements loués à des étudiants », rappelle la FNAIM.

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