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Fiscalité des placements : PFU ou barème progressif, comment choisir ?
information fournie par Le Revenu 30/01/2018 à 07:30

Dans certains cas, le barème progressif peut être intéressant même dans des tranches d'imposition élevées. (© Fotolia)

Dans certains cas, le barème progressif peut être intéressant même dans des tranches d'imposition élevées. (© Fotolia)

Le principe, c’est le prélèvement forfaitaire unique (PFU) !

Le PFU devient le nouveau mode de taxation de vos placements financiers. Il concerne les intérêts de vos livrets, les dividendes, les plus-values sur titres et même l’assurance-vie !

Seul le PEA conserve un régime particulier avec une taxation des gains dont le taux varie pour les retraits avant cinq ans. Sur le papier c’est simple, pour une même nature de revenu tout le monde est logé à la même enseigne : les gains sont imposés à 12,8% + 17,2% de prélèvements sociaux.

Dans la réalité, c’est plus compliqué car les contribuables peuvent opter pour le barème progressif...

Qui a intérêt à choisir une imposition au barème progressif ?

À priori, pour savoir si vous avez intérêt à choisir le barème progressif, il suffit de comparer votre taux d’imposition et le taux du PFU (12,8%), sans tenir compte des prélèvements sociaux qui restent dus dans les deux cas.

En suivant ce raisonnement, seules les personnes non imposables auraient intérêt à choisir le barème progressif, car au-delà de 9.807 euros de revenu imposable, elles sont déjà soumises à un taux d’imposition de 14%.

Mais cela serait trop simple. Dans certaines situations, le barème progressif s’avèrera aussi intéressant pour des contribuables imposables dans des tranches d’imposition plus

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