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L'engouement pour les SCPI perdure au 1er semestre 2014
information fournie par Primaliance 05/09/2014 à 00:00

L'enquête semestrielle des SCPI pilotée par l’ASPIM et l’IEIF pour le compte de la profession vient de paraître. Elle révèle un premier semestre qui démarre en fanfare. Pour la 1ère fois les SCPI franchissent le seuil des 30mds € de capitalisation au 1er semestre. Et la collecte élevée (1,26md €) s’inscrit en croissance de 14%.

La collecte nette

En augmentation de 14,4% (soit 158 m€) par rapport à la même période de 2013, les SCPI ont engrangé une collecte nette totale de 1,26 md €. A titre de comparaison, la collecte des SCPI en 2008 ou 2009 sur un exercice entier atteignait moins de 900m€. En brut, la collecte atteint 1,51mds€.

La progression concerne essentiellement les SCPI « d’immobilier d’entreprise » (+148,9 m€). Au sein de ce segment, les SCPI diversifiées connaissent une hausse particulièrement soutenue (+76,3 m€, soit + 143,9%) tout comme les SCPI « spécialisées » (+29,5 m€, + 84,2%).

Le marché secondaire

Le nombre de parts échangées s'élève à 243 m€ (0,78 % de la capitalisation) et souligne une activité stable du marché secondaire. Avec les retraits non compensés (6,35 m€) et les parts en attente de retrait (autour de 50 m€ au même niveau qu’à fin juin 2013), l'ASPIM observe « une nouvelle fois que le marché secondaire est équilibré ».

La capitalisation

Ca y est ! Pour la 1ère fois, la capitalisation globale des SCPI dépasse le seuil des 30 mds € pour atteindre un total de 31,34 mds € (+ 4,6% par rapport à la fin 2013). Pour mémoire l'ASPIM rappelle que depuis les 15 dernières années la capitalisation n'a cessé de progresser : elle était de 7,89 mds € en 1999, 11,55 mds € en 2004 et 18,96 mds € en 2009.

Patrick de Lataillade, Président de l’ASPIM, rappelle que « les SCPI sont parfaitement intégrées dans le champ des fonds d'investissement alternatif (FIA) » au sens de la directive AIFM. De plus, il se réjouit d'une attractivité continue qui  permet à la fois de « satisfaire les attentes des épargnants et les besoins en solution immobilières dans des secteurs d’activité́ de France de plus en plus divers » (éducation, hébergement touristique santé...).

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