
De plus en plus d’indices prennent en compte la notation ISR. (© cc flickr nick fullerton Yuri Samoilov)
Étonnament, la gestion passive indicielle à bas coût, puisqu'il ne s'agit que de suivre des indices, se revendique de plus en plus responsable.
En effet, de plus en plus de ETF (Exchanged traded fund) aussi appelés trackers investissent les thématiques du climat, de la pollution, de la gouvernance et des évolutions sociales et sociétales en appliquant des filtres ISR (Investissement socialement responsable) ou ESG (environnementaux, sociétaux ou de gouvernance). Et de plus en plus d’indices prennent en compte la notation ESG, comme les indices MSCI SRI, ou ESG des valeurs.
Déjà, la gestion passive d’ Amundi (fonds indiciels, ETF ou trackers et mandats) prend en compte les critères ESG sur 35 milliards d’euros des 100 milliards gérés, une proportion près de deux fois supérieure à celle de ses fonds classiques !
Car au total, en tenant compte des fonds et mandats ESG de la gestion active et de ceux visant à avoir un impact environnemental ou sociétal, ce ne sont encore «que» 19% de ses encours qui intègrent des critères ESG, soit 280 milliards.
Sans compter les fonds et mandats qui excluent de façon systématique les entreprises les plus mal notées, le premier degré d’une approche responsable.
L'ISR s'applique bien aux fonds indicielsParadoxale la gestion passive indicielle fer de lance d’une stratégie
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