
L'Afer a fait le tour des propositions concernant l'assurance vie des principaux candidats à la présidentielle. (© Fotolia/Flickr P. Nouhailler)
Placement préféré des Français, l'assurance vie est-elle menacée ? L'Afer a voulu connaitre les réponses des candidats à l'élection présidentielle lors de ses Assises de l'épargne, organisée à Paris ce lundi 14 mars. Entre promesses de stabilité fiscale et nouveautés plus radicales, voici leurs propositions.
Avec 770.000 adhérents et 55 milliards d'euros d'encours en assurance vie, l'Afer, principale association d'épargnants en France, sait se faire entendre... et donner la parole aux personnalités politiques !
Objectif tenu avec la huitième édition des Assises de l'Afer, initiées par Gérard Berkerman, président de l'association, qui se sont déroulées lundi 14 mars 2022 devant 2.000 personnes, salle Pleyel à Paris.
Moins d'un mois avant le premier tour de l'élection présidentielle, l'Afer a demandé aux candidats à l'Elysée de venir exposer les grandes lignes de la politique de l'épargne qu'ils envisagent. Six d'entre eux ont envoyé un représentant. Voici le détail de leurs propositions sur l'assurance vie, l'épargne et les successions.
Emmanuel Macron (La République En Marche)
Pas de «zig-zag fiscal», selon son représentant, le député LREM Laurent Saint-Martin, qui s'exprimait devant les adhérents de l'Afer : «On ne touche à rien dans l'assurance vie» qui est un «produit connu et attendu» par les épargnants.
Une stabilité fiscale, y compris sur les prélèvements sociaux, a précisé au Revenu Laurent Saint-Martin. En outre, il n'est pas question d'intégrer l'assurance vie à la succession. Sur l'héritage, Emmanuel Macron envisage même «un allègement sur les transmissions populaires
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