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Depuis le mois de juin, plusieurs villes françaises expérimentent une nouvelle façon de pénaliser la consommation de drogues.
iStock-sturti
La France et la drogue
La France est le premier consommateur européen de cannabis avec pas moins de cinq millions d’usagers recensés en 2017 dont 700 000 quotidiens, des nombres en nette augmentation depuis plusieurs années. Le cannabis est souvent décrit ou perçu comme étant une drogue douce. Cependant, la dépendance existe tout comme les répercussions sur la santé. « Si l’on ne dispose pas de données sur les décès par cancers ou maladies cardio-vasculaires imputables au cannabis, sa consommation serait responsable de 170 à 190 décès annuels par accident de la circulation à la fin des années 2000 », explique l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies. La consommation de cannabis peut entraîner une perte de motivation, une baisse de la vigilance ou encore une modification de la perception du temps. « L’ecstasy crée un état d’éveil et d’excitation, qui masque la fatigue, donne un sentiment d’assurance excessif et provoque un comportement irrationnel au volant. » La cocaïne est responsable d’erreurs d’attention et de jugement tandis que les opiacés « provoquent une perte d’attention, des réflexes et de la conscience du danger et des obstacles ».
Une AFD pour consommation de drogues
Une amende forfaitaire délictuelle (AFD) d’un montant de 200 euros en cas de consommation de drogues ? C’est ce qu’expérimentent quatre villes françaises (Rennes, Reims, Créteil et Boissy-Saint-Léger) depuis le mois de juin. Ce dispositif a été mis en place par le gouvernement qui souhaite notamment mettre fin à la « dépénalisation de fait » du cannabis. Depuis le 16 juillet, cette mesure est aussi appliquée dans les communes dépendantes des tribunaux des quatre villes citées précédemment et dans celles dépendantes de deux autres villes (Lille et Marseille). Dès le 4 septembre, elle sera étendue à l’ensemble du territoire. En cas de paiement sous 15 jours, le montant de l’amende passe à 150 euros. Si la personne sanctionnée met plus de 45 jours à la payer, elle devra s’acquitter d’une majoration fixée à 450 euros. Seules les personnes majeures, possédant moins de 10 grammes de cocaïne ou 100 grammes de cannabis, sont concernées par cette mesure. Pour éviter des poursuites judiciaires, les consommateurs devront « reconnaître les faits, confirmer la nature du produit appréhendé et accepter la confiscation et la destruction des stupéfiants et accessoires saisis ».
« Une réponse pénale plus ferme »
L’objectif de cette mesure est d’apporter « une réponse pénale plus rapide, plus ferme et plus systématique » en cas de consommation de drogues. Eric Pouilliat (LREM), co-rapporteur de la mission d’information à l’origine de la proposition en 2018, n’a pas caché sa satisfaction face à la mise en place de cette mesure. « L’amende forfaitaire […] va permettre aux forces de l’ordre et aux magistrats de se concentrer sur la lutte contre le trafic, plutôt que de consacrer leur temps à des procédures chronophages liées à la répression de la consommation de stupéfiants. »
Le présent article est rédigé par Labsense pour Boursorama. Cet article ne doit en aucun cas s'apparenter à un conseil en investissement ou une recommandation d'acheter, de vendre ou de continuer à détenir un investissement ou un placement. Boursorama ne saurait être tenu responsable d'une décision d'investissement ou de désinvestissement sur la base de cet article.
Oui jean , pas de pb et quand la gendarmerie viendra t'annoncer à ton pas de porte que ton fils est mort dans un accident où le conducteur d'en face était sous l'emprise de cette drogue dite festive ( pareil avec l'alcool au passage ), on en reparlera. La solution n'est pas d'aller dans les cités mais de les encercler pour prendre les acheteurs et les verbaliser , 1000 euros. Plus d'acheteurs , plus de vendeurs. CQFD.
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