Garder l'usage de sa résidence principale tout en se procurant un capital, c'est possible. Cela passe par le viager – qui n'a pas toujours bonne presse –, mais aussi par la vente de votre bien ou d'une résidence secondaire en nue-propriété ou en indivision. Une formule qui, tout en gommant les inconvénients du viager, permet de financer des travaux d'aménagement et, surtout, de rester chez soi.
La vente en nue-propriété est sans surprise. Tous les paramètres sont connus : le bien est évalué à sa valeur de marché, de laquelle on retranche une décote correspondant au montant des loyers que ne percevra pas l'acquéreur de votre bien pendant la durée où vous occuperez le bien.
Cette dernière est calculée sur la base de votre espérance de vie. Mais, là encore, pas d'inquiétude : si vous mourez avant, vos héritiers percevront une soulte de la part de l'acheteur. Et, si vous mourez plus tard, contrairement à la formule du viager, vous ne serez pas gagnant car le montage suppose la souscription d'une assurance, à votre charge, qui indemnisera l'acquéreur. Le processus est rapide (environ quarante-cinq jours) et sans condition de prêt, l'acquéreur ayant déjà les fonds nécessaires. La vente en nue-propriété se distingue du viager par un paiement en une seule fois.
« Entre trente et cinquante biens par semaine »Un exemple fourni par la SCI ViaGénérations, qui achète ce type de biens pour les proposer ensuite à des
... Source LePoint.fr
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