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Un ouvrier découvre des dizaines de pierres précieuses sur le chantier de l'ancien presbytère de Saint-Tropez
information fournie par Boursorama avec Newsgene 19/02/2020 à 16:57

Un ouvrier découvre des dizaines de pierres précieuses sur le chantier de l'ancien presbytère de Saint-Tropez

Un ouvrier découvre des dizaines de pierres précieuses sur le chantier de l'ancien presbytère de Saint-Tropez

Un ouvrier a découvert un véritable trésor dans l'ancien presbytère de Saint-Tropez, actuellement en cours de démolition. Plusieurs dizaines de pierres précieuses, dont un diamant, étaient dissimulées dans des boîtes à cigares. Le mystère plane pour l'instant sur l'origine de ce butin.

Saphirs, émeraudes, rubis, diamant… C’est un véritable trésor qui a été découvert dans l’ancien presbytère de Saint-Tropez, en cours de démolition. Un ouvrier a récemment mis la main sur des boites de cigarillos contenant plusieurs pierres précieuses, rapporte Var-Matin . Mai pour l’heure, le mystère plane autour de leur origine.

Qui va récupérer les pierres ?

Le bâtiment tropézien a été acheté 8,5 millions d’euros en 2017 par un homme d’affaires belge, pour y installer une enseigne de luxe. Et c’est en cassant une vieille cheminée que l’un des ouvriers du chantier a découvert un trésor inattendu : une soixantaine de pierres précieuses, dont certaines de grande taille et un diamant.

L’employé a immédiatement prévenu les autorités et la municipalité a confié le butin à un bijoutier pour expertise. L’ouvrier devrait normalement pouvoir conserver la moitié du butin, l'autre partie revenant au propriétaire des lieux comme le veut la loi.

Le diamant a disparu

Le bâtiment a accueilli les curés de Saint-Tropez à partir de 1928 mais les boîtes de cigarillos qui abritaient les pierres datent elles de ces vingt dernières années. Une chose est sûre : l’évêché est passé à côté de cette manne au moment de la vente à l’entrepreneur belge.

d'après les premières conclusions de l’expertise, les pierres ne seraient cependant pas d’une grande valeur. Hormis peut-être le diamant qui, malheureusement, n'est plus entre les mains de l’ouvrier. Selon ses dires, il l’aurait  montré à une personne mal intentionnée qui l'aurait volé… Une énigme de plus à résoudre.

3 commentaires

  • 19 février 19:12

    Le belge doit regretter de e pas avoir bricolé lui même...


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