
Une résidence secondaire ne bénéficie pas des mêmes avantages fiscaux que votre habitation principale. (© Adobestock)
Une maison de vacances peut coûter cher en impôts, mais il n'y a pas de fatalité. Toutes les taxes qui s'appliquent à votre «deuxième» résidence et les avantages fiscaux auxquels vous pouvez prétendre.
C'est l'été, l’envie de mer, de montagne ou d’espace vous gagne. Plutôt que de louer ou d’aller à l’hôtel, vous préféreriez vous retrouver dans un logement qui vous appartient. La période de confinement a renforcé ce désir.
Pour réussir votre projet d'acquisition d'une résidence secondaire vous avez intérêt à prendre en compte toutes les charges qui pèseront sur votre budget. À commencer par les impôts.
Malheureusement, les réformes Macron n’épargnent pas la pierre, bien au contraire. L’ISF a disparu, mais les biens immobiliers restent taxés à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI).
La seule bonne nouvelle issue de ces réformes est la suppression progressive de la taxe d’habitation. Le hic : cette exonération est réservée à la résidence principale! Eh oui, pas de cadeau pour les logements de villégiature.
Côté impôts locaux, les nouvelles ne sont pas meilleures. La facture a toutes les chances d'être plus élevée que sur votre résidence principale. Car vous ne profiterez pas de certains abattements liés aux charges de famille par exemple.
Certaines villes ont même décidé de surtaxer les résidences secondaires (Nice, Marseille, Toulouse…). Négocier une décote sur la taxe d’enlèvement des ordures ménagères en prétextant que vous ne profitez que de quelques semaines par an de votre nouveau cocon est tentant, mais
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