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Investissement logistique en France : un 1er trimestre de très bonne facture
information fournie par Primaliance 13/06/2019 à 08:00

L’année 2018 avait été exceptionnelle pour l’investissement en immobilier logistique, avec un record de 2,7 milliards € investis sur ce marché. L’essor du e-commerce, qui challenge fortement le commerce physique, crée en effet de nouvelles opportunités sur le marché de la logistique. Les investisseurs ne s’y trompent pas, étant de plus en plus nombreux à plébisciter ce secteur de l’immobilier tertiaire.

Après une année 2018 où un record absolu en terme de volume de transactions avait été atteint (2,7 milliards € investis), le marché français de la logistique confirme sa dynamique au 1er trimestre 2019 : 459 millions € de capitaux investis selon JLL, avec une majorité d’investisseurs étrangers (53%). La barre des 3 milliards € pourrait à nouveau être approchée en 2019. La France fait ainsi partie des pays européens les plus attractifs sur ce secteur, en raison de son positionnement géographique, mais également grâce à un réseau de transport dense et de bonne qualité. En terme de typologie d’actifs, on retrouve en ce début d’année un intérêt fort des investisseurs aux deux extrémités du spectre : les transactions XXL de plus de 50 000 m2 d’un côté, et la logistique du dernier kilomètre à proximité des grands centres urbains de l’autre.

Romain Nicolle, directeur investissement logistique chez JLL France, dresse un constat résolument optimiste sur ce marché : « Avec un 1er trimestre parmi les plus performants de ces dernières années, et compte tenu des autres arbitrages d’actifs unitaires -mais surtout de portefeuilles- qui se profilent pour les prochains mois, nous anticipons un volume d’investissement à nouveau proche des 3 milliards € à la fin de l’année. L’engouement des investisseurs pour la logistique maintient la pression sur les taux de rendement. Ainsi, la barre des 4,5 % est en passe d’être cassée pour le taux "prime" et nous anticipons de terminer l’année à un niveau proche des 4 %, seuil déjà franchi de l’autre côté du Rhin ».

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