
Bien que les rues soient étroites, les prix se tendent à proximité de la Croix-Rousse. (© M. Perrin)
Les prix continuent à fortement progresser dans certains quartiers lyonnais mais d'importantes disparités subsistent. A la recherche d'un investissement locatif ou de votre résidence principale ? Découvrez notre enquête sur le marché immobilier lyonnais.
Toujours bien classé dans les palmarès des villes où il fait bon vivre, Lyon attire (+20.000 habitants en cinq ans) grâce à son tissu économique dynamique, sa situation géographique et son accessibilité par les transports.
Après une année 2020 florissante (les prix auraient progressé de 10% dans plusieurs quartiers), la hausse ralentit en ce premier trimestre 2021. Mais la demande reste forte.
Dans le centre, les studios et les deux-pièces ont la coteDans les arrondissements du centre (Ier et IIe), le marché se segmente. Avec des prix variant de 5.500 à 7.500 euros selon les surfaces, les acheteurs réfléchissent. «Les grands appartements au-delà de 400.000 euros se vendent moins vite», constate Alexandra Bardin, directrice de ventes chez Foncia.
Pour les budgets supérieurs à 800.000 euros, la question se pose d’investir dans le centre ou de sortir de Lyon pour vivre dans une grande maison avec un jardin. L’intérêt en berne pour les appartements familiaux pourrait entraîner une baisse de prix. Le constat est complètement différent pour les T1 et T2.
«La demande des acheteurs est quotidienne. Nous pouvons avoir jusqu’à vingt appels par jour pour des petites surfaces, explique Thomas Bonnet, manager de l’agence Century 21 Presqu’île immobilier. En dessous de 170.000 euros, cela devient difficile de trouver un studio dans nos arrondissements. Nous venons de vendre
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