
Avant de signer votre contrat d'assurance vie, lisez tous nos conseils pour bien rédiger la clause bénéficiaire. (© cc Chris)
On l’oublie aisément, un contrat d’assurance vie n’est pas seulement un placement performant et avantageux en termes de gestion financière. Elle est aussi destiné à transmettre un capital à des bénéficiaires, le tout dans un cadre fiscal privilégié.
Une réflexion approfondie s’impose sur la dévolution des sommes qui y sont investies.
Un contrat vie permet en effet, dans certaines limites, d’attribuer librement les capitaux investis aux bénéficiaires de son choix.
Encore faut-il rédiger sans méprise une clause bénéficiaire qui traduise réellement votre volonté et dont l’exécution à votre décès ne sera pas sujette à interprétation.
Le Revenu vous éclaire sur cette aspect essentiel et pourtant négligé.
À qui allez-vous attribuer le bénéfice des capitaux à votre décès ? Dans une configuration familiale «classique», la clause bénéficiaire standard est très souvent adoptée. Mais est-elle adaptée à votre situation ? Cette clause est aujourd’hui généralement rédigée ainsi : «mon conjoint, à défaut mes enfants nés ou à naître, par parts égales entre eux, vivants ou représentés, à défaut mes héritiers légaux selon les règles de la dévolution successorale».
S’affranchir de la clause standardSi ces dispositions sont adaptées à la plupart des cas, vous ne devez pas la choisir par défaut. Vous devez avoir à l’esprit qu’à votre
1 commentaire
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer