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L’association Libra a tenu sa première réunion le 14 octobre, entérinant la charte de Libra. Les 21 entreprises membres du conseil responsable de la gouvernance de l’association se veulent optimistes, malgré la désertion des émetteurs de cartes de crédit et l’hostilité des États. Lancé en juin, le projet de monnaie virtuelle de Facebook soulève de nombreuses inquiétudes et pléthores d’interrogations.
iStock-megaflopp
L’utopie de Facebook
Le 18 juin dernier, Facebook annonçait en grande pompe le lancement de sa monnaie virtuelle à grande échelle, la Libra, qui serait contrôlée par un consortium de 28 grandes entreprises technologiques et ONG depuis Genève. L’objectif du géant des réseaux sociaux était de proposer un mode de paiement alternatif aux circuits traditionnels à grande échelle — la Libra étant adossée à la monnaie du pays dans lequel les transactions seraient effectuées. Le circuit de transaction de la cryptomonnaie permettrait, avec des frais faibles et un volume de transaction élevé, de faciliter l’accès à une monnaie stable dans les pays émergents. En contrepartie, la monnaie de Facebook favoriserait le développement de paiements via Messenger et l’augmentation des transactions en ligne. Sous cet idéal démocratique, l’incursion des géants des technologies sur le marché des monnaies virtuelles soulève un grand nombre de questions de sécurité, de confidentialité et de concurrence. La première réunion officielle de ses membres de l’association s’est tenue à Genève, le lundi 14 octobre. Sur les 28 partenaires annoncés, 21 entreprises et associations ont répondu à l’appel après les défections retentissantes de Visa, MasterCard, eBay ou encore de Strip. Le secrétaire général de l’association, Bertrand Perez a salué publiquement la motivation et l’implication des membres, assurant que les récentes déconvenues n’entamaient en rien la détermination des initiateurs de la Libra. Le secrétaire général a toutefois indiqué que les discussions en cours avec les régulateurs impliqueraient un report de la date de lancement, initialement prévue courant 2020.
Une opposition massive
Toujours est-il que le positionnement privilégié des membres de l’association et leur utilisation des habitudes transactionnelles des usagers à des fins de ciblage publicitaire pose problème. Facebook, pointé du doigt, a cependant assuré que les données recueillies lors des transactions ne seraient pas utilisées dans ce cadre. Les banques centrales et les États font blocage. La Réserve fédérale des États-Unis a présenté une liste pléthorique de « défis réglementaires » auxquels la monnaie de Facebook devra se soumettre. Réunis mi-octobre, les ministres de l’Économie du G7 ont convenu d’une opposition commune au lancement de monnaies virtuelles stables adossées à des devises comme l’euro ou le dollar tant qu’un cadre réglementaire strict ne sera pas établi. Les ministres allemand, français et italien travaillent quant à eux sur des mesures visant à interdire la circulation de la Libra en Europe. La frilosité des régulateurs s’explique par l’impact néfaste de la monnaie sur les devises nationales en l’absence de régulation des États. Le contrôle de la devise étant intrinsèquement lié à la souveraineté d’une entité économique, qu’elle soit étatique ou fédérale.
Le présent article est rédigé par Labsense pour Boursorama. Cet article ne doit en aucun cas s'apparenter à un conseil en investissement ou une recommandation d'acheter, de vendre ou de continuer à détenir un investissement ou un placement. Boursorama ne saurait être tenu responsable d'une décision d'investissement ou de désinvestissement sur la base de cet article.
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