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Tensions Etats-Unis / Iran  - page 80

Les tensions géopolitiques ne cessent de monter entre l'Iran et les Etats-Unis depuis que Washington s'est retiré de l'accord international sur le nucléaire iranien en mai 2018. Après la destruction le 20 juin dernier d'un drone américain de surveillance par un missile iranien, le président américain Donald Trump a failli riposter avec des frappes ciblées contre l'Iran avant de les annuler à la dernière minute.  Une escalade des tensions qui fait craindre un embrasement de la région Moyen-Orient.

  • information fournie par Reuters04.01.202018:30

    BAGDAD, 4 janvier (Reuters) - Deux roquettes de type Katioucha sont tombées samedi sur une base aérienne abritant des forces américaines stationnées à 80 kilomètres au nord de Bagdad, en Irak, a-t-on appris de deux sources au sein des services de sécurité. Aucun blessé n'est à déplorer, selon ces mêmes sources

  • information fournie par Reuters04.01.202017:59

    BAGDAD, 4 janvier (Reuters) - Deux détonations ont été entendues samedi à Bagdad, selon un journaliste de Reuters présent dans la capitale irakienne. Il était impossible dans l'immédiat de connaître les causes de ces détonations, ni leur localisation exacte

  • information fournie par Reuters04.01.202017:31
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    PARIS (Reuters) - Emmanuel Macron s'est entretenu samedi, par téléphone, avec son homologue irakien, Barham Saleh, avec lequel il s'est engagé à rester en contact pour éviter une "aggravation supplémentaire des tensions" consécutives à l'assassinat d'un haut responsable militaire iranien, tué dans une frappe américaine. "Face à l’accroissement des tensions, il a rappelé son attachement à la sécurité et à la souveraineté de l’Irak", est-il écrit dans un communiqué de l'Elysée

  • information fournie par Reuters04.01.202013:09
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    par Ahmed Aboulenein et Maha El Dahan BAGDAD (Reuters) - Des milliers de personnes ont participé samedi à Bagdad aux funérailles du général iranien Qassem Soleimani, du chef de milice irakien Abou Mahdi al Mouhandis et des autres victimes de la frappe aérienne lancée par les Etats-Unis dans la nuit de jeudi à vendredi près de la capitale irakienne. Ordonné par Donald Trump, cet assassinat ciblé du plus éminent responsable militaire iranien fait craindre un embrasement entre les Etats-Unis et l'Iran même si le président américain a assuré que son initiative visait à empêcher une guerre et non à en déclencher une, Qassem Soleimani étant selon lui en train de fomenter des attaques imminentes contre des Américains

  • information fournie par Reuters04.01.202010:09

    (Actualisé avec démenti de l'armée irakienne et des Unités de mobilisation populaire) BAGDAD, 4 janvier (Reuters) - Les Unités de mobilisation populaire, rassemblement de mouvements armés soutenu par l'Iran en Irak, sont revenues samedi sur de précédentes déclarations faisant état d'une frappe aérienne près de la base de Tadji, au nord de Bagdad, qui aurait fait six morts et trois blessés graves. Le mouvement Hachd al Chaabi avait dans un premier temps déclaré que cette frappe aérienne visant ses combattants avait atteint un convoi médical

  • information fournie par Reuters04.01.202001:06

    WASHINGTON, 4 janvier (Reuters) - L'Iran a fait savoir vendredi au Conseil de sécurité des Nations Unies qu'elle se réservait le droit d'exercer sa légitime défense en vertu des lois internationales, après l'assassinat du général Qassem Soleimani, commandant de la force Al Qods, dans une frappe américaine en Irak. Dans une lettre, le représentant de l'Iran à l'Onu, Majid Takht Ravanchi, écrit que l'assassinat de Soleimani "est un exemple évident de terrorisme d'Etat et, en tant qu'acte criminel, constitue une violation flagrante des principes fondamentaux du droit international et, en particulier, ceux stipulés dans la Charte des Nations Unies"

  • information fournie par Reuters04.01.202000:38
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    BAGDAD, 4 janvier (Reuters) - L'armée américaine a mené vendredi soir une frappe aérienne contre une milice irakienne sur la route de Taji, au nord de Bagdad, a rapporté la télévision publique, sans préciser le nom de la milice. Plus tôt vendredi soir, une source militaire irakienne a déclaré à Reuters que des frappes aériennes visant la milice irakienne Hachd al Chaabi - majoritairement composée de factions pro-iraniennes - près de la base militaire de Taji avaient fait six morts et trois blessés graves

  • information fournie par Reuters03.01.202023:16

    * Soleimani était une figure du régime iranien * Il a été tué sur ordre de Trump * L'ayatollah Khamenei promet une "terrible vengeance" (Actualisé avec nouvelles déclarations de Donald Trump) par Ahmed Rasheed, Ahmed Aboulenein et Idrees Ali BAGDAD/WASHINGTON, 3 janvier (Reuters) - L'Iran a promis vendredi de venger la mort du général Qassem Soleimani, fer de lance de son influence militaire au Moyen-Orient, tué dans une frappe américaine en Irak menée à la demande expresse de Donald Trump. Cet assassinat ciblé du plus éminent responsable militaire iranien fait craindre un embrasement entre les Etats-Unis et l'Iran mais le président américain a assuré que son initiative visait à empêcher une guerre et non à en déclencher une, Qassem Soleimani étant selon lui en train de fomenter des attaques imminentes contre des Américains

  • information fournie par Reuters03.01.202021:38

    PALM BEACH, Floride, 3 janvier (Reuters) - Donald Trump a déclaré vendredi avoir ordonné l'assassinat de Qassem Soleimani pour éviter une guerre, pas pour en déclencher une, le président des Etats-Unis affirmant que le général iranien préparait des attaques imminentes contre des Américains. "Soleimani complotait pour lancer des attaques imminentes et malfaisantes contre des diplomates et du personnel militaire américains mais nous l'avons attrapé sur le fait et l'avons éliminé", a dit Donald Trump à la presse à sa résidence de Mar-a-Lago en Floride

  • information fournie par Reuters03.01.202019:51

    WASHINGTON, 3 janvier (Reuters) - Bien avant de s'exprimer vendredi à la télévision et sur Twitter pour justifier l'assassinat ciblé de Qassem Soleimani, le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo avait fait du général iranien une cible privilégiée. En 2015, alors qu'il n'était encore qu'un élu du Kansas prônant un changement de régime à Téhéran, pendant que l'administration de Barack Obama négociait l'accord nucléaire de Vienne, il avait accusé Soleimani d'avoir "sur les mains le sang de centaines de militaires américains"

  • information fournie par Reuters03.01.202019:02

    WASHINGTON, 3 janvier (Reuters) - Les Etats-Unis vont envoyer près de 3.000 soldats en renfort au Moyen-Orient à titre préventif en raison de menaces accrues contre les forces américaines dans la région, ont déclaré vendredi des responsables américains

  • information fournie par Reuters03.01.202017:57

    (Actualisé avec Macron) WASHINGTON/BAGDAD, 3 janvier (Reuters) - Réactions à la mort du général iranien Qassem Soleimani, tué vendredi dans une frappe américaine à l'aéroport de Bagdad. Le commandant de l'unité d'élite des forces iraniennes Al Qods et Abou Mehdi al-Mouhandis, de la milice chiite irakienne Hachd al Chaabi, ont trouvé la mort tôt vendredi matin dans une frappe américaine dans le secteur de l'aéroport de Bagdad

  • information fournie par Reuters03.01.202017:03
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    PARIS (Reuters) - Emmanuel Macron "souhaite éviter une nouvelle escalade dangereuse des tensions" après la mort du général iranien Qassem Soleimani, tué en Irak par une frappe américaine, a déclaré vendredi l'Elysée. Le président français s'est entretenu vendredi matin avec son homologue russe Vladimir Poutine et les deux hommes "sont convenus de rester en contact étroit au cours des prochains jours pour éviter une nouvelle escalade dangereuse des tensions et appeler toutes les parties à la retenue", a précisé l'Elysée dans un communiqué

  • information fournie par Reuters03.01.202015:15

    WASHINGTON, 3 janvier (Reuters) - Le général iranien Qassem Soleimani "aurait dû être éliminé il y a de nombreuses années", a estimé vendredi Donald Trump quelques heures après l'assassinat ciblé du chef de la force d'élite al Qods par les Etats-Unis. "Le général Qassem Soleimani a tué ou gravement blessé des milliers d'Américains sur une période de temps étendue, et préparait secrètement la mort de beaucoup d'autres

  • information fournie par Reuters03.01.202012:32

    PARIS, 3 janvier (Reuters) - Le président du Conseil européen Charles Michel a appelé vendredi à la fin "du cycle de violence et de provocations" en cours en Irak dans un communiqué publié quelques heures après l'annonce de la mort du général iranien Qassem Soleimani dans un raid américain à Bagdad. "Le cycle de violence, de provocations et de représailles auquel nous assistons en Irak ces dernières semaines doit cesser", estime l'ancien Premier ministre belge dans ce communiqué dans lequel il ne mentionne pas la mort du général que l'Iran a promis de venger

  • information fournie par Reuters03.01.202012:10

    LONDRES, 3 janvier (Reuters) - Le ministre britannique des Affaires étrangères, Dominic Raab, a exhorté vendredi l'ensemble des parties à privilégier une désescalade des tensions après la mort du général iranien Qassem Soleimani, tué dans une frappe américaine en Irak. "Nous avons toujours admis que la force iranienne Al Qods commandée par Qassem Soleimani représentait une menace agressive

  • information fournie par Reuters03.01.202011:52
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    BERLIN, 3 janvier (Reuters) - La frappe de l'armée américaine qui a tué le général iranien Qassem Soleimani vendredi en Irak était une réaction à une série de provocations militaires de la part de l'Iran, a estimé la porte-parole du gouvernement allemand. "L'action américaine était une réaction à une série de provocations militaires dont l'Iran est responsable", a dit Ulrike Demmer lors d'une conférence de presse à Berlin

  • information fournie par Reuters03.01.202011:24

    JERUSALEM, 3 janvier (Reuters) - Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a décidé vendredi d'écourter un déplacement en Grèce après la mort du général iranien Qassem Soleimani, ont fait savoir vendredi ses services. La disparition de cette figure du régime iranien, tuée dans une frappe américaine en Irak, suscite des inquiétudes en Israël, où l'on redoute des représailles de la République islamique ou de ses alliés dans la région, comme le Hezbollah libanais ou Hamas et le Djihad islamique à Gaza

  • information fournie par Reuters03.01.202010:47
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    BAGDAD, 3 janvier (Reuters) - Le grand ayatollah Ali Sistani, figure irakienne majeure de l'islam chiite, a appelé vendredi toutes les parties à faire preuve de retenue et de sagesse après la mort du général iranien Qassem Soleimani, victime d'une frappe aérienne américaine. "L'attaque perfide la nuit dernière sur l'aéroport de Bagdad est une violation insolente de la souveraineté irakienne et des accords internationaux

  • information fournie par Reuters03.01.202010:19
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    PARIS (Reuters) - La priorité est la stabilité de la région, a déclaré vendredi la secrétaire d'État française auprès du ministre de l'Europe et des Affaires étrangères Amélie de Montchalin, après la mort du général iranien Qassem Soleimani, tué par une frappe américaine en Irak. "C'est la suite d'une escalade qui dure depuis des mois, il se passe ce que l'on craignait, un rapport de force qui s'accroît entre les Etats-Unis et l'Iran", a-t-elle dit sur RTL