Aller au contenu principal Activer le contraste adaptéDésactiver le contraste adapté
Plus de 40 000 produits accessibles à 0€ de frais de courtage
Découvrir Boursomarkets
Fermer

«Nous ne sommes pas dans une logique punitive d'accès aux minima sociaux»
information fournie par Le Point 03/06/2019 à 15:05

Le gouvernement donne le coup d'envoi, ce lundi 3 juin, de la concertation en vue de la création d'un « revenu universel d'activité ». Annoncée par Emmanuel Macron en septembre 2018, cette prestation va remplacer à la fois le RSA, la prime d'activité, ainsi que les allocations logement. D'autres prestations pourraient aussi être concernées par ce nouveau dispositif, imaginé pour simplifier le millefeuille des minima sociaux. Cette réforme est également censée diminuer le non-recours aux prestations des bénéficiaires potentiels et renforcer l'incitation à reprendre un travail. Mais sera-t-elle l'occasion de faire des économies, alors que le président avait évoqué, dans une vidéo postée sur Twitter en juin 2018, le « pognon de dingue » dépensés pour les minimas sociaux  ? Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté, qui va superviser la construction du revenu universel d'activité, s'en défend. Il décrypte, en exclusivité pour Le Point, les enjeux de cette réforme.Le Point : Vous lancez la concertation pour la création du « revenu universel d'activité » promis par le président. Quels sont les objectifs de cette réforme? ?Olivier Noblecourt : L'objectif est de simplifier un système devenu trop complexe pour les allocataires. Plus personne n'y comprend rien entre les prestations individualisées ou familialisées, calculées en fonction des revenus de l'année...

0 commentaire

Signaler le commentaire

Fermer