Dans un contexte de globalisation des valeurs, et qu'elles soient africaines ou non africaines mais installées sur le continent, les entreprises se doivent de mettre en place une organisation où la préoccupation de performance économique est conjuguée avec celle de justice sociale, d'écologie et de transparence.Si de nombreux acteurs de la finance, des banques, des investisseurs font de plus en plus l'apologie d'un nouveau modèle qui se doit de lier la performance économique avec la responsabilité sociale et environnementale, ce n'est pas seulement parce qu'ils veulent être capables de raconter sans honte leur métier à leurs enfants. C'est aussi parce que l'avenir de ce métier se joue sur sa capacité à contribuer à un monde plus écologique et plus inclusif.Certes, nous manions l'argent : les rendements pour nos clients et la profitabilité pour nos actionnaires. Cet univers semble assez déconnecté de l'humain en termes de perceptions. Mais dès que l'on envisage l'histoire avec une perspective longue, on se rend compte que les périodes de dérive où l'argent n'existe que pour lui-même sont des accidents de l'histoire.Lire aussiAmandine Lepoutre : « Faire de l'entreprise un acteur citoyen est un impératif aujourd'hui »Participer utilement à la transformation du mondeSi la finance existe depuis la Grèce antique, c'est parce qu'elle a su être à de nombreuses reprises un carburant des transformations du monde. Tel est le défi qui se...
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