Même son frère l'a lâché, pimentant la série du Brexit avec un drame familial : Boris Johnson a dû encaisser la démission du gouvernement et du Parlement de son frère Jo, qui avait voté pour le maintien dans l'Union européenne lors du référendum de 2016 et a préféré placer « l'intérêt national » avant la « loyauté familiale ». Le Parti conservateur sous la houlette de Boris Johnson a ainsi perdu 23 députés en trois jours... Le Brexit « est visiblement une question qui divise les familles », a ricané le Premier ministre.Qu'importe? ! « Bojo » a remis un coup de pression sur les travaillistes pour sortir de l'Union européenne le 31 octobre et convoquer des élections avec une de ces punchlines dont il a le secret : « plutôt être mort au fond d'un fossé » que demander un report du Brexit. Même l'ancien Premier ministre britannique John Major a ajouté son nom à la liste des personnalités du Parti conservateur inquiètes des agissements de Boris Johnson et de l'influence néfaste de son conseiller spécial Dominic Cummings, ancien directeur de la campagne du vote Leave en 2016.Lire aussi Dominic Cummings, le copilote europhobe du 10 Downing Street« Chicanes familiales » et « déculottées parlementaires »Ce vendredi, les éditorialistes des quotidiens français s'en donnent à c?ur joie sur les déboires de « Bojo ». « Boris Johnson jalonne son éclatante descente aux enfers politique de chicanes...
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