Wall Street: une fin de deuxième trimestre triomphale information fournie par Cercle Finance 01/07/2025 à 07:33
(CercleFinance.com) - Le premier semestre s'achève en apothéose à Wall Street avec un nouveau florilège de records absolus'comme à la parade'.
Le S&P500 (+0,52% à près de 6.205) a battu ses records pour la deuxième séance consécutive, le Nasdaq-100 (+0,64% à 22.679) en a battu un quatrième consécutif et a validé une hausse trimestrielle de +17,6%, la plus forte depuis le second trimestre 2020. Le Dow Jones a lui gagné 0,63% et a refranchi les 44.000 (à 44.094).
Puisqu'il faut bien assortir les'habillages de bilans'd'un vernis de rationalité, les commentateurs évoquent l'apaisement des tensions commerciales (reprises des pourparlers entre les Etats-Unis et le Canada) et l'apaisement des inquiétudes concernant l'inflation, ce qui restaure l'espoir de trois baisses de taux d'ici fin 2025.
D'autres indicateurs importants sont attendus, mais le point d'orgue de la semaine sera la statistique de l'emploi américain, qui paraîtra exceptionnellement jeudi puisque Wall Street sera fermée vendredi pour la fête nationale d'Independence Day.
Les économistes tablent en moyenne sur 121.000 créations d'emplois non agricoles en juin après les 139.000 annoncées du mois précédent, témoignant du ralentissement actuel de l'économie des Etats-Unis.
Des chiffres rassurants, c'est-à-dire allant dans le sens de prochaines baisses de taux de la Fed, pourraient permettre d'entretenir l'élan haussier des marchés d'actions américains, qui ont inscrit de nouveaux plus hauts historiques vendredi.
Sur le compartiment obligataire, les US T-Bonds à 10 ans évoluent autour des 4,23% (-2,5 points de base), le'30 ans'efface -6,7 pbs à 4,781%: le premier semestre s'achève au niveau où il avait débuté pour les bons du Trésor... avec une dette qui a explosé de plus de 1.000Mds$ depuis le 1er janvier.
Le S&P500 (+0,52% à près de 6.205) a battu ses records pour la deuxième séance consécutive, le Nasdaq-100 (+0,64% à 22.679) en a battu un quatrième consécutif et a validé une hausse trimestrielle de +17,6%, la plus forte depuis le second trimestre 2020. Le Dow Jones a lui gagné 0,63% et a refranchi les 44.000 (à 44.094).
Puisqu'il faut bien assortir les'habillages de bilans'd'un vernis de rationalité, les commentateurs évoquent l'apaisement des tensions commerciales (reprises des pourparlers entre les Etats-Unis et le Canada) et l'apaisement des inquiétudes concernant l'inflation, ce qui restaure l'espoir de trois baisses de taux d'ici fin 2025.
D'autres indicateurs importants sont attendus, mais le point d'orgue de la semaine sera la statistique de l'emploi américain, qui paraîtra exceptionnellement jeudi puisque Wall Street sera fermée vendredi pour la fête nationale d'Independence Day.
Les économistes tablent en moyenne sur 121.000 créations d'emplois non agricoles en juin après les 139.000 annoncées du mois précédent, témoignant du ralentissement actuel de l'économie des Etats-Unis.
Des chiffres rassurants, c'est-à-dire allant dans le sens de prochaines baisses de taux de la Fed, pourraient permettre d'entretenir l'élan haussier des marchés d'actions américains, qui ont inscrit de nouveaux plus hauts historiques vendredi.
Sur le compartiment obligataire, les US T-Bonds à 10 ans évoluent autour des 4,23% (-2,5 points de base), le'30 ans'efface -6,7 pbs à 4,781%: le premier semestre s'achève au niveau où il avait débuté pour les bons du Trésor... avec une dette qui a explosé de plus de 1.000Mds$ depuis le 1er janvier.