Vincent Rouaix, PDG de GFI, dévoile ses priorités

information fournie par Le Revenu 03/04/2015 à 13:37

Vincent Rouaix, PDG de GFI. (© H. Thouroude Kiema)

Un des objectifs de votre nouveau plan stratégique est de totaliser un milliard d’euros de facturations en 2017-2018, contre 804 millions l’an dernier. Comment y parvenir ?
Vincent Rouaix :
Nous avons trois priorités. Tout d’abord, accélérer notre positionnement sur les logiciels et dans nos filiales à l’international (Espagne, Portugal, Belgique, Suisse, Maroc). En second, la poursuite des efforts de montée dans la chaîne de la valeur et d’industrialisation pour améliorer la marge. Enfin, nous regardons du côté de l’Afrique. Nous y avons réalisé deux acquisitions : NVBS au Maroc pour compléter notre offre Microsoft et Somafor en Côte-d’Ivoire, un intégrateur Oracle. Sur ce continent, où nous pesons 15 millions d’euros de ventes, GFI cherche à accompagner ses gros clients français et à servir les donneurs d’ordre locaux. Plus généralement, nous pourrions être ouverts à un rapprochement avec un acteur local proche de GFI, tant par sa taille critique sur son marché que par la combinaison des services et des solutions.

La faible internationalisation du groupe est-elle un handicap ?
Vincent Rouaix :
Non, il est vrai que sur des projets globaux, les grands donneurs d’ordre ont besoin d’acteurs globaux pour les accompagner dans leur développement international. En revanche, pour tous les autres types de projets de proximité nos clients recherchent des partenaires locaux

Lire la suite sur le revenu.com