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Brexit: le casse-tête des opposants au «no deal»
information fournie par Le Point 30/08/2019 à 07:35

Putsch contre la démocratie parlementaire organisé par un Premier ministre non élu à la tête d'un gouvernement de facto minoritaire ou atout maître que le joueur du 10 Downing Street a sorti de sa manche au moment idoine pour réaliser le Brexit, « quoi qu'il arrive », au 31 octobre ? La controverse fait rage depuis l'annonce, le 28 août, que la reine Elizabeth II avait accepté la requête de Boris Johnson de réduire de manière substantielle la période de débat parlementaire sur la sortie programmée du Royaume-Uni de l'Union européenne.Au-delà de la polémique créée par cette décision surprise du chef du gouvernement, de la saisie de tribunaux ou de rumeurs d'élections anticipées pour tenter de défaire le n?ud gordien du retrait de l'Union européenne, les opposants à une sortie brutale se retrouvent le dos au mur.Le rouleau compresseur du « no deal »Cinq facteurs expliquent l'impuissance des « remainers » d'arrêter le rouleau compresseur du no deal, faute d'un accord de dernière minute avec Bruxelles. Tout d'abord, les supporteurs du maintien ne sont jamais parvenus à remettre en cause la légitimité de la victoire des « leavers » par 52 % contre 48 %. En refusant d'accepter le résultat, les anti-Brexit sont apparus comme de mauvais perdants. « Ignorant », « xénophobe », « anti-intellectuel »? le mépris dans lequel ces derniers tiennent le camp d'en face depuis le référendum du 23 juin 2016 a...

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