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Algérie: vers un dialogue sans participation de «l'État»??
information fournie par Le Point 04/07/2019 à 12:25

L'Algérie, où le président Abdelaziz Bouteflika a démissionné en avril sous la pression de l'armée et de la rue, est en proie à une crise politique majeure. Entre la rue algérienne qui pousse et les autorités qui veulent continuer à tenir le volant, l'histoire du pays continue de s'écrire au quotidien. Un mouvement de contestation lancé en avril continue de refuser que le « système » en place organise la présidentielle et réclame au préalable le départ de tous les anciens soutiens de M. Bouteflika et la mise sur pied d'institutions de transition chargées de réformer l'État et d'élaborer une nouvelle Constitution. « Le processus de dialogue sera conduit et mené en toute liberté et en toute transparence par des personnalités nationales, crédibles, indépendantes, sans affiliation partisane et sans ambition électorale », a déclaré M. Bensalah.Lire aussi Algérie : et maintenant, le casse-tête constitutionnelLire aussi Algérie : Abdelkader Bensalah appelle au consensusLa proposition de Bensalah...« L'État dans toutes ses composantes, y compris l'institution militaire, ne sera pas partie prenante à ce dialogue et observera la plus stricte neutralité tout au long du déroulement de ce processus », a-t-il affirmé. Selon lui, « il est devenu aujourd'hui nécessaire de mettre de côté (...) les exigences irréalistes qui sont de nature à prolonger la situation actuelle et à entraîner notre pays dans une situation...

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