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Algérie: une bien problématique présidentielle
information fournie par Le Point 30/09/2019 à 19:50

« Le système seul dans l'isoloir ». Le titre en une du quotidien privé Liberté ce lundi 30 septembre résume la pensée d'une bonne partie de l'opposition en Algérie qui tend vers le boycott de la présidentielle du 12 décembre prochain. Sur le papier, quelque 82 personnes postulent à la candidature, dont deux ex-Premiers ministres, Ali Benflis et Abdelmadjid Tebboune. Azzedine Mihoubi, ex-ministre de la Culture et nouveau secrétaire général du RND ? dont l'ex-patron, Ahmed Ouyahia, est en prison pour corruption ?, a exprimé également sa volonté de se porter candidat. « L'élection présidentielle est la pièce maîtresse de la stratégie de sortie de crise. Il y a bien sûr, l'environnement politique à assainir, les doutes à lever chez les plus sceptiques, la confiance à établir », a déclaré Ali Benflis le 26 septembre dernier, officialisant sa participation au scrutin. Mais ce n'est pas l'avis de ses ex-partenaires politiques dans l'opposition, qui, comme le Mouvement pour la société de la paix (MSP, tendance Frères musulmans), ont décidé de boycotter la présidentielle et de ne soutenir aucun candidat.Lire aussiMaghreb : un désir de Tunisie démocratique en AlgérieLire aussiVue d'Alger : « Quand je regarde l'élection en Tunisie, j'ai le blues? ! »Pour les islamistes, un « non » prudentLe niet du MSP, ainsi que de trois autres partis islamistes et conservateurs, risque d'entamer encore plus la crédibilité d'une...

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