Après sa catastrophique prestation télévisée sur ses liens avec le pédophile Jeffrey Epstein, la descente aux enfers du prince Andrew se poursuit de plus belle en menaçant l'un des piliers du pouvoir royal : l'action philanthropique. Aux accusations de harcèlement sexuel et d'arrogance sont venues s'ajouter des allégations de racisme. Dans la foulée de ses explications peu convaincantes sur son amitié avec Epstein et ses rapports sexuels présumés avec plusieurs mineures, plusieurs sponsors de renom ont déserté les organisations philanthropiques présidées par le duc d'York, à l'instar d'associations d'aide à la jeunesse et aux entrepreneurs. Par ailleurs, plusieurs universités veulent couper les liens avec celui qui assure la présidence honoraire.En outre, un ancien conseiller du 10 Downing Street d'origine sri-lankaise a accusé le huitième dans l'ordre de succession au Trône d'avoir tenu des propos racistes lors d'une réception à Buckingham Palace en 2012. Si le Palais a démenti les propos prêtés au prince, l'écho rencontré dans la presse met à mal le mythe de l'ouverture des « Royals » aux minorités raciales que symbolise le mariage en mai 2018 du prince Harry et de Meghan, issue d'un père blanc et d'une mère noire.La pression de la justice américaineEnfin, la justice américaine fait pression sur le prince pour qu'il réponde aux questions du FBI sur son rôle dans l'affaire Epstein. Depuis son entretien de dimanche à...
0 commentaire
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer