SCPI : et si vous n’achetiez que l’usufruit ou la nue-propriété...

information fournie par Le Revenu 30/11/2017 à 13:16

François Le Brun de Primaliance.com. (© DR)

Une part de SCPI est à la fois une copropriété de patrimoine immobilier, dans la plus grande diversité de ce que peut offrir la pierre : logements, tours de bureaux, murs de boutiques, voire des monuments historiques. Et puis, ce sont également des revenus, en provenance des loyers perçus par la mise en location de ces biens.

Tout comme dans la pierre en direct, il est parfaitement légal de dissocier le côté pile et le côté face de cette même pièce. C’est ce qu’on appelle le démembrement de propriété, qui scinde la pleine propriété en deux parties :

1 - La nue-propriété (la détention du capital)

2 - La quote-part usufruitière (la perception des revenus)

Il peut être temporaire (cinq, dix ou même quinze ans, c’est au choix des parties); ou bien il est viager, c’est-à-dire qu’il dure toute la vie de l’usufruitier. En tout état de cause, l’usufruit s’éteint au décès de son titulaire.

Si les entreprises peuvent être intéressées par l’usufruit pour placer intelligemment leur trésorerie, parallèlement, il se trouve des épargnants qui possèdent de bonnes raisons de ne vouloir que la nue-propriété des mêmes parts. Les professionnels de la pierre-papier sont accoutumés à faire rencontrer les offres et les demandes de ces deux populations.

Comment cela fonctionne, et les bienfaits procurés à chacune des parties

1 - L’usufruit

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