« Le Bergamasque n’a pas de complexe d’infériorité »
information fournie par So Foot 26/03/2025 à 19:12

(L-R) Mateo Retegui of Atalanta BC celebrates after scoring a goal with Matteo Ruggeri of Atalanta BC during Serie A 2024/25 football match between Atalanta BC and Juventus FC at Gewiss Stadium - Photo by Icon Sport

Dans Amare una dea - Aimer une déesse, Cairo, 2024, non traduit -, six supporters de l’Atalanta Bergame décortiquent leur amour pour un club longtemps englué dans le ventre mou du football italien, et désormais habitué des premières places. Que ressent-on quand son équipe se met soudainement à bien jouer ? Pourquoi le club s’est-il mis à gagner ? De quoi l’Atalanta est-elle le nom ? Interview croisée avec deux des coauteurs du livre.

Casting

Davide Ferrario , 68 ans, est réalisateur, scénariste et producteur. Il a notamment remporté un David di Donatello, l’équivalent des César, pour Dopo mezzanotte (2004). Il vient aussi de produire le documentaire A guardia di una fede , qui raconte l’évolution de la curva de l’Atalanta en se concentrant sur son ancien leader, Claudio Galimberti, dit « le Bocia ». Déjà projeté dans plusieurs salles en Italie ou en Allemagne, le documentaire n’est pas encore sorti en France, et n’est pas disponible à la demande.

Gigi Riva, 65 ans, est écrivain et journaliste. Il a été le rédacteur en chef de L’Espresso , l’un des hebdomadaires les plus réputés du pays, et a notamment été correspondant de guerre en Yougoslavie. Il est l’auteur de plusieurs livres, dont certains ont été traduits en français : J’accuse l’ONU (Calmann-Lévy, 1995), ou Le Dernier Penalty (Seuil, 2016).…

Propos recueillis par Lucas Duvernet-Coppola pour SOFOOT.com

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