Trois mois après le début du mouvement de contestation au Liban, les tensions montent lors de cette "semaine de la colère" dans les rues de Beyrouth face à l'absence de gouvernement. Banques cassées, heurts entre policiers et manifestants, pneus brûlés; les libanais emploient désormais des moyens de force pour faire entendre leur mécontentement à l'Etat.