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«Dès qu'on veut manifester pacifiquement, ils débarquent pour tout foutre en l'air!»
information fournie par Le Point 06/12/2019 à 07:55

Tout est bien? qui finit mal. Jeudi 5 décembre, ils étaient plus de 800 000 personnes dans toute la France à descendre dans la rue (chiffres du ministère de l'Intérieur), alors que sonnait le coup d'envoi de la grève générale contre la réforme des retraites. À Paris, les manifestants se sont donné rendez-vous à 13 heures devant la gare de l'Est. Militants syndicaux, Gilets jaunes, avocats, médecins, employés de la SNCF et de la RATP, lycéens ou encore membres d'Extinction Rebellion? Ils étaient des milliers (plus de 65 000) dans les rues de la capitale. Parmi eux, les revendications sont extrêmement variées.Mais en tête de cortège, c'est bien la réforme des retraites qui cristallise la colère. D'emblée, Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT ? très représentée ce jeudi ?, annonce que la grève « va continuer ». « Nous, ce qu'on attend, c'est le passage à l'acte II du quinquennat. Le retrait du projet et l'amélioration du système actuel, qui est le meilleur du monde. Soit le gouvernement nous écoute, soit il continue à s'obstiner », tance le militant syndical. Plus prudent, François Hommeril, le président de la CFE-CGC, indique au Point qu'il n'est « pas impossible » que le syndicat appelle de nouveau à la mobilisation.Des revendications qui vont au-delà des retraitesMadeleine, 59 ans, employée de nuit dans un Ehpad de Seine-Saint-Denis, pense, elle, d'abord à son salaire. « Pour avoir une bonne...

4 commentaires

  • 06 décembre 11:21

    homlib le conspirationniste primaire de service !!


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