« Nous n'avons pas à rougir de notre bilan […] Nous pouvons être fiers de ce qui a été fait et de notre pays. » Dimanche 14 juin au soir, Emmanuel Macron est revenu sur plusieurs mois d'une longue crise engendrée par l'épidémie de coronavirus. Le chef de l'État a ainsi accéléré le déconfinement en annonçant notamment le passage, dès le 15 juin, de tout le pays en « zone verte », à l'exception de la Guyane et Mayotte. Cafés et restaurants pourront accueillir les clients dès lundi, et les crèches, écoles et collèges rouvriront dans des conditions normales. Économie, emploi, réorganisation de l'État, social, égalité des chances, jeunesse… Emmanuel Macron a aussi souhaité donner une impulsion pour la suite de son quinquennat. Et à droite comme à gauche, les réactions politiques n'ont pas tardé à fuser.
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À gauche, Jean-Luc Mélenchon n'a pas attendu pour dénoncer un « satisfecit lunaire ». « Non, M. Macron, il n'y a pas de quoi être fier de ce qui a été fait par le gouvernement pendant cette crise », a-t-il notamment critiqué dans une série de tweets. « Pluie de truismes, de mots volés et de poncifs, Macron saoule », a également déploré le chef de file de La Fance insoumise. Alexis Corbière, député LFI, a de son côté dénoncé un « discours bouffi d'autosatisfaction […], des mots volés à
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