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Le debrief Bourse du 12 juin : le CAC 40 déjà tourné vers la Fed

information fournie par Boursorama 12/06/2018 à 18:47

On se refait un peu le scénario de la semaine dernière, un CAC 40 qui ouvre en hausse, perd du terrain avant de passer dans le rouge et d’y rester. L’indice français clôture en repli de 0,38% vers les 5453 points, pas vraiment impressionné par le meeting au sommet entre Donald Trump et Kim Jong Un et déjà un œil sur l’issue de la réunion du comité de politique monétaire de la Fed demain soir.

Sur les marchés américains, ça monte sur le Nasdaq (+0,4%) à 7688 points et c’est stable sur le Dow Jones à 17h45

Sur le SBF 120, Europcar et Elis signent les meilleures progressions suivies par ADP dont le titre continue à être porté par les perspectives de privatisation

Le cours de Carrefour a bien positivé aujourd’hui. Les investisseurs ont été séduits par l’annonce d’un partenariat stratégique entre le distributeur et Google. Début 2019, le groupe vendra ses produits via trois canaux numériques du géant américain dont l’enceinte connectée Google Home et l’assistant Google présent sur tous les smartphones android.

Toujours sur le CAC 40, Pernod Ricard (+1,8%) a profité d’un relèvement d’objectif de cours de Credit Suisse. Le département d’analyses de la banque suisse est passé de 150 à 156 euros sur le titre en confirmant son conseil à surperformance.

Dans le rouge cette fois, nouvelle séance de repli pour le groupe minier Eramet, lanterne rouge du SBF 120 devant Michelin... un peu à plat. Le spécialiste du pneumatique a indiqué qu’il tablait désormais à un impact négatif des matières premières d'environ 50 millions d'euros sur les six 1er mois de l’année, comme sur l'ensemble de l'exercice. En avril , il tablait sur un effet neutre au premier semestre, et sur un impact compris entre zéro et -50 millions d'euros en 2018.

Toujours sous pression également les valeurs du luxe LVMH et Hermès. Ce dernier est pénalisé par une nouvelle dégradation d’analystes. Cette fois c’est Berenberg qui passe de conserver à vendre sur le titre, avec un objectif de cours de 479 euros. Il justifie notamment cette décision par le ralentissement du marché du sac Hermès d’occasion qui montrerait selon lui, une moindre appétence pour les produits du groupe d’hyperluxe.

LG (redaction@boursorama.fr)


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