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Les Républicains : Christian Jacob exclut toute "combine et magouille" avec Emmanuel Macron
information fournie par Boursorama avec Media Services 21/06/2022 à 11:42

"Et maintenant il appelle au secours ? Il fallait qu'il y pense avant, peut-être", a martelé le Républicain.

Christian Jacob à Paris, le 21 juin 2022. ( AFP / LUDOVIC MARIN )

Christian Jacob à Paris, le 21 juin 2022. ( AFP / LUDOVIC MARIN )

Les Républicains ne sont pas la "roue de secours" d'Emmanuel Macron, a assuré mardi 21 juin le président du parti, Christian Jacob, qui a, une nouvelle fois, refusé tout pacte de gouvernement avec la majorité présidentielle.

"Que Monsieur Macron mettre des propositions sur la table", a affirmé sur France Inter Christian Jacob, qui était le premier chef de parti reçu par le chef de l'État à 10 heures. Mais il a rappelé la position de LR martelée depuis le deuxième tour des législatives : "Nous sommes dans l'opposition" et "nous y restons".

"On n'a pas vocation de béquille ou de roue de secours", a-t-il ajouté, rejetant l'idée d'un pacte gouvernemental : "La réponse ne sera pas dans les combines et les magouilles".

"Arrogance"

Christian Jacob en a profité pour étriller Emmanuel Macron, "président dans la tactique, qui a instrumentalisé les extrêmes (...) sur le thème 'c'est moi ou le chaos'", qui "a été dans une arrogance et une suffisance permanentes" , et n'a eu "qu'une idée, de nous détruire".

"Et maintenant il appelle au secours ? Il fallait qu'il y pense avant, peut-être", a-t-il ajouté. Selon lui, "on est dans un contexte qu'on n'a jamais connu. La responsabilité entière est celle du président de la République".

Dans l'opposition "à chaque fois nous serons force de proposition , charge au gouvernement de les accepter ou pas", a assuré Christian Jacob. Mais "nous resterons sur la ligne qui est la nôtre. On ne va pas avoir dit quelque chose pendant deux mois de campagne et ensuite faire autre chose", a-t-il averti.

11 commentaires

  • 21 juin 12:32

    Aujourd'hui Macron veut un système à l'allemande, un compromis et on signe - mais ça Macron n'en voulait pas (la proportionnelle), n'en veut pas - l'Allemagne fait un gouvernement avec plusieurs tendances mais chacun s'engage à le respecter, si non c'est clash et retour à zéro - en France il y a trop eu l'habitude de promettre pour les élections et 5 ans plus tard on n'a rien vu -


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