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Extension du pass sanitaire : l'exécutif promet de "la souplesse dans un premier temps"
information fournie par Boursorama avec Media Services 19/07/2021 à 09:54

A deux jours de l'extension du pass sanitaire, le porte-parole du gouvernement a assuré lundi sur franceinfo que les contrôles des établissements concernés n'avaient pas pour "objectif de piéger les responsables de ces établissements".

Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, le 13 juillet 2021. ( AFP / LUDOVIC MARIN )

Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, le 13 juillet 2021. ( AFP / LUDOVIC MARIN )

Face à la propagation du Covid-19 lié au variant Delta, le Conseil des ministres adopte lundi 19 juillet le projet de loi comportant les nouvelles mesures anticoronavirus, dont l'extension du pass sanitaire , avant un examen au pas de charge cette semaine par le Parlement.

La présentation du pass sanitaire conditionnera l'accès aux salles de spectacle et aux cinémas à partir du 21 juillet, et aux cafés, restaurants, centres commerciaux ou encore aux trains et avions à partir du 1er août. Tout manquement à cette règle, pourrait coûter cher aux responsables d'établissement : jusqu'à 45.000 euros d'amende.

"La première personne qui contrôle le pass sanitaire, c’est le responsable de l'établissement concerné", a rappelé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal lundi 19 juillet sur franceinfo , en précisant que des contrôles de la part des autorités auront également lieu. Mais "il ne s'agit pas d'aller piéger les responsables de ces établissements" , a-t-il assuré. "L'objectif c'est de sanctionner les cas où il y aurait une volonté délibérer de ne pas appliquer les mesures", a-t-il martelé.

"Les choses vont se faire dans les premiers temps de manière souple. On sera plutôt dans l'accompagnement que dans la sanction. Les premiers jours, les choses vont sans doute se faire à blanc. Mais après, il y aura des sanctions pour ceux qui ne veulent pas respecter les règles" , a encore ajouté le porte-parole du gouvernement.

Sur BFMTV , le secrétaire d'Etat en charge des Affaires européennes, Clément Beaune, a de con côté indiqué qu'il s'agissait avant tout que le message soit "dissuasif" . "Ce n'est pas 45.000 euros qui vont être appliqués aux restaurateurs le 1er ou le 5 août quand les mesures vont se mettre en place. C'est un plafond grand maximum, en ultime recours", a-t-il dit.

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