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Sarkozy, Fillon et Juppé face à la terreur
information fournie par Le Point 23/11/2015 à 06:35

"Il faut dire que nous soutenons François Hollande dans sa décision de fermer les frontières et de proclamer l'état d'urgence." Vendredi 13 novembre au soir, Nicolas Sarkozy dîne tranquillement dans son domicile parisien de la villa Montmorency, dans le 16e, quand il apprend que Paris est la cible des djihadistes. François Fillon, lui, apprend la terrible nouvelle via Twitter. "La guerre est parmi nous", réagit-il. Il écrit un communiqué depuis sa voiture en rentrant d'un meeting à Royan (Charente-Maritime) aux côtés de la tête de liste Virginie Calmels. "L'unité nationale" sont les premiers mots qui lui viennent à l'esprit. "C'est le premier mot qui lui est venu, c'est notre devoir, ce sont ses premières valeurs", explique un proche. Tout au long de cette semaine post-attentats, la droite a émis une série de propositions dont certaines seront reprises par le chef de l'État. Mais, contrairement au mois de janvier, les ténors de droite ont vite remis leurs costumes d'opposants. "Nous sommes unis dans le deuil, mais il n'y a pas d'unité politique. Il faut agir, le danger est là", glisse un proche de l'ex-chef de l'État.

Dimanche 15 novembre : union et prières

18 h 30 :

En la cathédrale Notre-Dame de Paris, Mgr André Vingt-Trois célèbre une messe pour les victimes des attentats du 13 novembre. Le secrétaire général de l'Élysée Jean-Pierre Jouyet est présent, ainsi...

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