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Procès du 13 Novembre: Gabriel Attal salue un "signe de maturité" de l'Etat de droit
information fournie par Boursorama avec Media Services 08/09/2021 à 12:50

20 prévenus et 1765 parties civiles vont défiler au cours des audiences, qui débutent mercredi 8 septembre.

Gabriel Attal, le 13 juillet 2021, à Paris ( AFP / LUDOVIC MARIN )

Gabriel Attal, le 13 juillet 2021, à Paris ( AFP / LUDOVIC MARIN )

Près de six ans après les attaques terroristes qui ont traumatisé la France, le procès des attentats du 13 Novembre s'ouvre à Paris sous haute surveillance. Dans ce contexte, Gérald Darmanin a demandé aux responsables de la sécurité du territoire "un haut niveau de vigilance", particulièrement autour des lieux classés sensibles.

"C'est un procès hors-norme pour une blessure profonde. Il peut potentiellement y avoir un risque autour de ce procès et c'est pourquoi Gérald Darmanin a souhaité rehausser encore le niveau de vigilance. Il faut que la justice se tienne dans la sérénité et la sécurité", a commenté Gabriel Attal, mercredi 8 septembre, sur France 2 . Le porte-parole du gouvernement voit en ce procès un signe de "maturité" du pays, qui selon lui est "resté rassemblé" malgré les attaques.

"Autour des questions de terrorisme, on a besoin d'unité et d'humilité. Ce qui me frappe, c'est que notre pays est resté rassemblé. On aurait pu imaginer que notre pays se divise, se fracture, ça n'a pas été le cas. On a pas changé nos modes de vie, parce que c'est à ça que s'en prenaient les terroristes. On a gardé nos modes de vie, avec nos valeurs. Ce procès est important pour le pays car juger le terrorisme, c'est le signe de maturité d'un Etat de droit", a t-il abondé.

Fiche sur les 20 personnes suspectées d'avoir pris part aux attentats du 13-Novembre en France, dont le procès aux Assises s'ouvre mercredi  ( AFP /  )

Fiche sur les 20 personnes suspectées d'avoir pris part aux attentats du 13-Novembre en France, dont le procès aux Assises s'ouvre mercredi ( AFP / )

Au coeur de Paris, le procès des attentats jihadistes du 13 Novembre, les plus meurtriers commis sur le territoire français, s'ouvre pour neuf mois devant la cour d'assises spéciale de Paris. Vingt accusés y sont poursuivis, dont Salah Abdeslam, le seul survivant des commandos qui ont fait 130 morts et plusieurs centaines de blessés autour du Stade de France, sur des terrasses de bistrots parisiens et dans la salle de concert du Bataclan.

8 commentaires

  • 08 septembre 18:37

    Ce procès ne leur servira qu'à exprimer leur haine de la France qui a fait ce qu'ils sont. Puis quand ils auront accompli leurs effets, ils ne s'y présenteront plus. Il ne restera alors que les victimes et leurs parents avec les nombreux avocats pendant 9 mois.


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