L'ancien premier secrétaire du Parti socialiste a trouvé un nouveau poste. La nomination d'Harlem Désir au poste de représentant pour la liberté des médias au sein de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe est intervenue le 18 juillet après un consensus des « États membres de l'OSCE », explique L'Opinion
. Deux mois après la fin de la présidence de François Hollande, l'ancien secrétaire d'État aux Affaires européennes a donc trouvé comment rebondir.
L'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe a un système de rémunération basé sur celui de l'Organisation des Nations unies « pour les membres de ses équipes », précise-t-elle à L'Opinion . Concrètement, cela signifie que les trois dirigeants à la tête des trois institutions que compte l'OSCE (responsable du Bureau des institutions démocratiques et des droits de l'homme, représentant pour la liberté des médias et haut commissaire pour les minorités nationales) ont le rang de sous-secrétaire général de l'ONU.
Pas d'impôts sur le revenu
Et la rémunération qui va avec, soit 122?195 euros annuels, selon les calculs de L'Opinion . Le quotidien explique aussi que les États membres de l'organisation se sont mis d'accord pour que le salaire versé aux employés de l'ONU soit non imposable. Pour son « temps plein », Harlem Désir va donc toucher...
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