En déplacement sur l'île de Midway, située en plein océan Pacifique, le président américain en a profité, via une vidéo publiée sur le site internet du New York Times , pour mettre en garde les sceptiques contre l'immobilisme en matière de lutte contre le réchauffement climatique. « Ce qui rend l'action difficile en faveur du climat, c'est qu'il ne s'agit pas d'une catastrophe instantanée, a-t-il déclaré. C'est un événement lent qui évolue au jour le jour, que les gens ne connaissent pas et ne voient pas. » Au passage, Barack Obama réaffirme qu'il s'agit pour lui de la plus grande menace à long terme pour le monde.
Un bilan mi-plein, mi-vide
Le président américain en fin de mandat revient sur les actions menées durant sa présidence, il confie notamment qu'il a pu convaincre ses concitoyens de la véracité du changement et de la nécessité d'agir. Il s'y présente également comme le courtier central des accords de la Cop21, qui a permis d'engager tous les États dans la lutte contre le réchauffement. Un résultat rendu possible grâce à son appel lors la conférence de Copenhague. Malgré l'échec, il est convaincu que son appel à l'engagement des pays en voie de développement sur ce traité a alors permis aux États de réaliser l'importance d'un accord contraignant pour tous, avant de s'engager par la suite à Paris. Obama revient également sur ses échecs, notamment en politique intérieure. Sur le fait...
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