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Nous avons interviewé unefondatrice d'Extinction Rebellion
information fournie par Le Point 05/12/2019 à 15:25

Extinction Rebellion. Un nom inquiétant, qui illustre la radicalité (assumée) de ses membres autant que celle de leur objectif : sauver l'humanité d'une extinction causée par le réchauffement climatique. L'organisation, fondée il y a un peu plus d'un an au Royaume-Uni, était relativement méconnue en France jusqu'à ses actions sur le pont de Sully, au centre commercial Italie 2, et leur occupation de la place du Châtelet.Extinction Rebellion se présente comme une holacratie, composée de petits groupes autonomes non hiérarchisés. Autant le dire, obtenir un entretien avec un responsable de l'organisation ne fut pas simple. Surtout que les membres du groupe sont peut-être des idéalistes, mais ils sont aussi très pragmatiques : une première interview a été annulée parce que leur porte-parole, Sarah Lunnon, avait décidé qu'il valait mieux s'adresser au Sunday Times qu'au Point.Cette horizontalité participe aussi au flou de la ligne politique tenue par le groupe. Parmi les cofondateurs, on compte d'ailleurs : Roger Hallam, qui a affirmé à Die Zeit que l'Holocauste n'était « qu'une simple connerie de plus dans l'histoire humaine » ; Gail Bradbrook, qui raconte au Financial Times qu'une forte dose d'iboga, un hallucinogène, l'a convaincue de quitter son mari et de se lancer dans la désobéissance civile.C'est donc avec une légère appréhension que nous avons voulu donner la parole à une autre des fondatrices d'Extinction Rebellion, Clare...

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