Est-ce bientôt la fin de la traversée du désert pour Najat Vallaud-Belkacem ? La ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche de François Hollande amorce ces jours-ci un retour dans l'arène politique. Celle qui avait déjà laissé entendre ses intentions en fin d'année 2019, s'active dans le cadre de l'élection municipale. Un premier pas qui pourrait être suivi de prises de responsabilités, comme le désire une partie de la gauche lyonnaise, explique Le Parisien.Son bourreau ? L'entrepreneur lyonnais Bruno Bonnell qui avait récolté 60,32 % des voix, le dimanche 18 juin, au second tour et fait son entrée à l'Assemblée nationale. Partie à l'Ipsos, celle qui annonçait vouloir participer à la refondation de la gauche, s'est faite discrète durant près de trois ans. En décembre dernier, elle a quitté l'institut de sondage et cette semaine, elle enchaîne deux déplacements politiques. Ce mardi 4 février, elle sera à Grenoble, dans l'Isère, pour soutenir Olivier Noblecourt, le candidat (ex-PS) à la mairie. Le lendemain, c'est à Lyon qu'elle se rendra afin d'appuyer Sandrine Runel, candidate socialiste à la mairie. Cette dernière présentera à cette occasion son programme « Éducation et enfance ». Une thématique qui était la sienne dans le gouvernement de François Hollande.Lire aussi Coignard ? Municipales : le paradoxe de MacronQuel engagement pour Najat Vallaud-Belkacem ?Comme le note Le...
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