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Messi à Miami, la nouvelle saga qui rend dingue l’Argentine
information fournie par So Foot 25/08/2023 à 22:30

Jul 16, 2023; Ft. Lauderdale, FL, USA; Inter Miami CF fans hold up Lionel Messi signs and banners as he introduced at The Unveil event and press conference at DRV PNK Stadium. Mandatory Credit: Jasen Vinlove-USA TODAY Sports/Sipa USA - Photo by Icon sport

Jul 16, 2023; Ft. Lauderdale, FL, USA; Inter Miami CF fans hold up Lionel Messi signs and banners as he introduced at The Unveil event and press conference at DRV PNK Stadium. Mandatory Credit: Jasen Vinlove-USA TODAY Sports/Sipa USA - Photo by Icon sport

Exilé à l’Inter Miami depuis son départ du PSG, Lionel Messi continue de générer un engouement médiatique et populaire phénoménal en Argentine, où ses admirateurs sont prêts à toutes les folies pour profiter de ses dernières prouesses.

La Coupe du monde approchait à toute vitesse, alors Harold Fores Vandecaveye n’a pas « eu besoin de réfléchir longtemps » . Pour voir le Qatar, cet Argentin de 36 ans a « tout plaqué » , famille, amis, job, et décidé de s’installer aux États-Unis. Le plan initial était de « rester quelques mois, de travailler et économiser assez pour financer le voyage puis voir tous les matchs » de l’Albiceleste jusqu’à la consécration espérée. Un rêve exaucé et un bonheur qui n’en finit plus : seize mois après son départ, ce « dingue de football » réside toujours en Floride, à plus de 6000 km de Corrientes, province dont il est originaire située au nord-est du pays sud-américain. « J’envisage de m’installer ici afin de voir Lionel Messi le plus possible » , raconte celui qui, désormais, « dépense tout (son) argent pour assister aux matchs de l’Inter Miami » . Les exemples du genre se multiplient, depuis l’annonce, par le septuple Ballon d’or lui-même, de son choix de rejoindre les États-Unis, le 7 juin.

« C’est une vraie folie » , constate l’Argentin Eduardo Jorge Cascardo, fondateur et leader de la barra Vice City 1896, qui met l’ambiance « façon latino-américaine » dans les tribunes du DRV PNK Stadium. Là où Messi régale depuis un mois les 19 100 chanceux parvenant miraculeusement à mettre le grappin sur un billet. « Il valait 19 dollars (17,50 euros) lors du dernier match avant sa signature et il peut se vendre entre 100 et 800 dollars (entre 92 et 740 euros) aujourd’hui , hallucine l’ultra, installé à Miami depuis 2015. Un truc impensable il y a quelques mois. Pour le voir jouer, certains sont prêts à tout, jusqu’à s’endetter. C’est exactement ce qui se passe lors de chaque Mondial avec les supporters de la sélection (qui étaient environ 35 000 au Qatar, NDLR) . »

Par Thomas Broggini, à Buenos Aires pour SOFOOT.com

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