Luis Rubiales, discours de tréfonds
Attendu par toute la presse espagnole pour présenter sa démission ce vendredi, Luis Rubiales a décidé de se livrer à un discours revanchard, avec des excuses ponctuées de « pardon mais… » et de propos dignes davantage d’un candidat d’extrême-droite que d’un président de fédération.
Le discours de Luis Rubiales devant l’Assemblée générale de la fédération espagnole était tellement convaincant que la justice espagnole a ouvert une enquête pour agression sexuelle dès ses derniers mots prononcés. Celui qui avait déjà osé embrasser de force Jenni Hermoso et se tenir les cojones aux côtés de la Reine d’Espagne et sa fille, a fini de creuser sa tombe dans un monologue lunaire, applaudi chaleureusement par tout le parterre de visages qu’on ne manquera pas d’oublier, dont Luis De La Fuente, sélectionneur de la Roja masculine, et son homologue chez les filles, Jorge Vilda. Attendu pour présenter sa démission, Luis Rubiales n’a offert que sexisme, misogynie, machisme, paternalisme, victimisation et cynisme, avant de brailler à qui veut l’entendre : « JE NE VAIS DÉMISSIONNER, JE NE VAIS PAS DÉMISSIONNER, JE NE VAIS DÉMISSIONNER. »
#ÚltimaHora ‼️ Luis Rubiales no dimitirá como presidente de la RFEF: …
Par Anna Carreau pour SOFOOT.com
Lire la suite de l'article sur SoFoot.com
0 commentaire
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer