Aller au contenu principal Activer le contraste adaptéDésactiver le contraste adapté
Plus de 40 000 produits accessibles à 0€ de frais de courtage
Découvrir Boursomarkets
Fermer

Les Bleues dans nos yeux
information fournie par So Foot 22/07/2023 à 20:41

Les Bleues dans nos yeux

Les Bleues dans nos yeux

Après une Coupe du monde 2019 à domicile décevante, l’équipe de France débarque en Australie avec des enjeux pour elle, mais aussi pour tout le football féminin français.

La France a débarqué en Australie sur la pointe des pieds. À Melbourne d’abord, où elle s’est inclinée 1-0 dans un match face aux locales qui battaient au passage leur record de spectateurs pour une rencontre amicale. À Sydney ensuite, où les protégées d’Hervé Renard ne sont plus les seules stars à résider dans la ville qu’elles partagent notamment avec les Allemandes et les Colombiennes. Ce qui est sûr en revanche, c’est que de l’autre côté de la planète, même si les Bleues seront moins scrutées, moins exposées, elles auront toujours la même pression. « Je suis là pour gagner des matchs, mais je suis aussi une sorte de VRP pour le football féminin, posait Hervé Renard dans une interview pour le magazine L’Équipe à la veille du début du tournoi. Je me suis aussi donné cette mission. Attention, tout cela ne fonctionne que si on a des résultats. »

« Faire mieux qu’en 2019 »

Renard a un objectif : « Faire mieux qu’en 2019. » À l’époque, l’équipe de France de Corinne Diacre échouait face aux États-Unis en quarts de finale (2-1) au Parc des Princes, obligeant Wendie Renard and co à quitter la compète tête basse. La vague sur laquelle le football féminin français aurait dû surfer pour définitivement séduire l’Hexagone n’est jamais arrivée, et ce, alors que le foot féminin français était pourtant l’un des pionniers de la discipline. « Il y a des choses qui n’ont pas été bien faites à tous les niveaux. Mais c’est aussi dû au foot féminin français lui-même. Il y a eu des manques. On a pris du retard » , analyse toujours Hervé Renard. Le nouveau boss du sportif chez les filles l’a bien compris : sans grosse performance de ses Bleues, pas de D1 Arkema mieux filmée, de joueuses sous contrat professionnel, de stades davantage remplis… Une liste de manquements que n’a de cesse de lister le sélectionneur à la chemise blanche qui, très tôt, a senti que son rôle dépassait celui de coach.…

par Anna Carreau pour SOFOOT.com

Lire la suite de l'article sur SoFoot.com

0 commentaire

Signaler le commentaire

Fermer