C'était l'hiver dernier dans un petit village de 114 habitants situé dans le parc régional des Pyrénées catalanes. 18 migrants débarquaient à Campôme, suscitant la réticence des habitants. Certes, leur arrivée n'avait pas déclenché de franche protestation, mais le maire, Christophe Carol le reconnaissait sur Franceinfo : « Cela a créé beaucoup d'inquiétude au démarrage. (...) Ils (les migrants) sont arrivés un peu craintifs par rapport à l'accueil qui allait leur être réservé. Très vite, ils se sont acclimatés au pays catalan et ils ont trouvé des habitants qui leur tendaient la main. »
Ces jeunes hommes venus d'Irak, d'Afghanistan, d'Éthiopie ou encore d'Iran se sont rapidement intégrés. Ils étaient logés dans un centre d'accueil et d'orientation inoccupé le temps de constituer leurs dossiers de demandeurs d'asile. Cette expérience a été vécue de manière « très positive tant pour les personnes que nous avons pu accueillir que pour les habitants », selon le maire. Qui souligne que maintenant que les migrants sont partis, la structure est vide et pourrait de nouveau accueillir d'autres demandeurs d'asile, comme le note
l'Indépendant.
LIRE aussi Réfugiés : quand leur accueil se passe... bien
« Une équation simple »
La réponse pour l'instant est négative ,"car...
0 commentaire
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer